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$ 500 000 au minimum requis pour investir aux Etats-Unis

u003cpu003eEn 2012, les États-Unis ont attiré desu0026nbsp; investissements directs étrangers (IDE) totalisant $ 2,5 trillions, soit 16 % de son produit intérieur brut. Pour augmenter lu0026rsquo;influx des IDE, les états-Unis encouragent les investisseurs à tirer avantage de lu0026rsquo;u003cemu003eEB-5 Immigrant Investor Visau003c/emu003e.u0026nbsp;u003c/pu003eu003cpu003eActuellement, pour faire du business en régions urbaines aux états-Unis, un étranger doit investir une somme minimale de $ 1 million, tandis quu0026rsquo;un montant du0026rsquo;au moins $ 500 000 est requis pour les investissements en régions rurales, explique Angela Henry, u003cemu003eConsular Assistant u003c/emu003eà lu0026rsquo;ambassade des états-Unis à Maurice. En outre, le capital du0026rsquo;investissement ne peut pas être emprunté.u003c/pu003eu003cpu003eActuellement, les IDE de Maurice vers les états-Unis se chiffrent sous la barre des $ 2 millions par an, note David Campbell, u003cemu003ePolitical Officeru003c/emu003e à lu0026rsquo;ambassade des états-Unis à Maurice. Ces IDE sont canalisés sous le u003cemu003eTrade u0026amp; Investment Framework Agreementu003c/emu003e (TIFA) ou lu0026rsquo;u003cemu003eAfrica Growth and Opportunity Actu003c/emu003e (AGOA). Un u003cemu003eBilateral Investment Treatyu003c/emu003e (BIT) est aussi en cours de finalisation.u003c/pu003eu003cpu003eu0026laquo;u003cemu003eu0026nbsp;Les États-Unis sont aussi diversifiés que lu0026rsquo;île Maurice. Du0026rsquo;ailleurs, nous avons un très grand marché avec presque les même secteursu003c/emu003eu0026nbsp;u0026raquo;, observe David Campbell.u003c/pu003eu003cpu003eu003cstrongu003eProcédures : mauvaise perceptionu003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eSelon Aaron Brickman, u003cemu003eDeputyu003c/emu003eu003cemu003e Executive Directoru003c/emu003e, SelectUSA, il existe une mauvaise perception selon lesquelles les procédures pour investir aux états-Unis sont compliquées, alors que ce pays se classe à la 4u003csupu003eeu003c/supu003e place dans le rapport de la Banque mondiale sur le u003cemu003eEase of Doing Business Report 2013u003c/emu003e.u003c/pu003eu003cpu003eu0026laquo;u0026nbsp;u003cemu003eLa Banque mondiale définitu003c/emu003e u003cemu003eMaurice comme étant une u0026lsquo;Upper middle income economyu0026rsquo;. Aux États-Unis, on a tellement le regard tourné vers les BRICS que les pays à potentiel sont souvent négligés. Cu0026rsquo;est pour cela quu0026rsquo;on est en quête du0026rsquo;investisseurs non-traditionnels pour les IDEu0026nbsp;u003c/emu003eu0026raquo;, soutient Aaron Brickman.u003c/pu003e

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