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Cybersécurité: relais de croissance de BIRGER en Afrique

u003cpu003eu003cstrongu003eCe 12 septembre marque une nouvelle étape dans lu0026rsquo;histoire de BIRGER, société mauricienne fondée en 1957. Elle inaugure ce lundi un Cyber Defense Centre u0026ndash; le premier dans la région u0026ndash; en partenariat avec lu0026rsquo;américain Symantec.u003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eIl est un fait quu0026rsquo;aujourdu0026rsquo;hui, les entreprises et organisations, quelle que soit leur taille, dépendent davantage des systèmes informatiquespourla sauvegarde de leurs données et la gestion de leurs activités. Dans ce contexte, BIRGER su0026rsquo;est associée au géant américain Symantec, renommé pour ses logiciels de cybersécurité u0026ndash; protection des périphériques mobiles et du courrier électronique, prévention des pertes de données, entre autres u0026ndash;, afin de créer un Cyber Defense Centre (CDC). Ce dernier, situé dans un bâtiment de 2 400 mu003csupu003e2u003c/supu003e, à Phoenix, sera inauguré le 12 septembre.u003c/pu003eu003cpu003eCe partenariat offre de nouvelles perspectives à BIRGER, qui su0026rsquo;est donné les moyens du0026rsquo;aménager un centre à la pointe de la technologie dans une ancienne usine de fabrication du0026rsquo;aluminium lui appartenant, au coût de Rs 60 millions. Un investissement à la hauteur des activités quu0026rsquo;abritera le CDC et des ambitions communes des deux parties prenantes du projet, fait ressortir Jacques Harel, Chief Executive Officer (CEO) de BIRGER.u003c/pu003eu003cpu003eConvaincu du potentiel de la cybersécurité, BIRGER mise beaucoup sur le CDC en tant que nouveau relais de croissance en Afrique. Pour mener à bien ses objectifs, la société mauricienne compte du0026rsquo;ailleurs sur le savoir-faire de son allié américain. u0026laquo;u003cemu003eLe marché de la cybersécurité en Afrique a été évalué à $ 300 millions. Or, par le biais de notre CDC, nous espérons générer un chiffre du0026rsquo;affaires de $ 30 millions annuellementu003c/emu003eu0026raquo;, avance Jacques Harel, soit 10 % de parts de marché. Un but tout à fait réalisable, estime le CEO, expliquant que pour lu0026rsquo;atteindre, BIRGER compte cibler des clients dans les milieux bancaire, de lu0026rsquo;assurance, des télécommunications, voire dans le secteur gouvernemental, sur le continent.u003c/pu003eu003cpu003eQuant aux responsabilités, elles seront partagées entre les deux partenaires alors que Symantec se chargera de lu0026rsquo;action commerciale et de la formation du personnel. La gestion de celui-ci et des infrastructures reviendra à BIRGER.u003c/pu003eu003cpu003eIl est à souligner que le centre de Phoenix est le premier CDC de Symantec dans la région, après lu0026rsquo;Inde, Singapour, lu0026rsquo;Australie, le Japon et les États-Unis, où la firme en compte deux. Lu0026rsquo;inauguration, ce lundi 12 septembre, sera suivie du0026rsquo;une série du0026rsquo;événements visant à promouvoir le centre auprès de clients potentiels. Ainsi, une journée dédiée à la cybersécurité est prévue le 13 septembre. Puis, les 14 et 15 septembre, auront lieu respectivement des présentations à lu0026rsquo;intention des banques et une journée portes ouvertes. En outre, BIRGER prendra part à deux colloques au cours du XVIu003csupu003eeu003c/supu003e Sommet de la Francophonie, les 26 et 27 novembre à Madagascar.u003c/pu003eu003cpu003eHors des côtes mauriciennes, BIRGER est présente aux Seychelles et dans la Grande île, de même quu0026rsquo;au Rwanda, en Afrique de lu0026rsquo;Est. Avec le CDC, la société entend étendre son empreinte en Afrique de lu0026rsquo;Ouest également, indique Jacques Harel. u0026laquo;u003cemu003eLe lancement de notre CDC nu0026rsquo;est que le début de lu0026rsquo;aventure dans le monde de la cybersécurité, qui est un enjeu mondialu003c/emu003eu0026raquo;, annonce le CEO de BIRGER.u003c/pu003eu003cpu003eLe CDC de Phoenix est lu0026rsquo;aboutissement du0026rsquo;un projet conçu il y a deux ans. Il cadre avec la volonté de BIRGER du0026rsquo;insuffler une nouvelle énergie à ses activités, notamment au moyen du0026rsquo;un rebranding au mois du0026rsquo;avril (NdlR: le groupe était anciennement connu comme Blanche, Birger), de même quu0026rsquo;une restructuration en six business units fortement orientées vers les dernières technologies. Désormais un u0026laquo;brand on its ownu0026raquo;, selon les termes de Jacques Harel, BIRGER affiche plus que jamais son intention de porter son expansion régionale à un niveau supérieur.u003c/pu003e

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