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IBL portée par le Seafood

u003cpu003eu003cstrongu003eLa filière Seafood et industrie de la mer a porté la performance du0026rsquo;IBL durant les six mois écoulés. Les profits réalisés par ce secteur du0026rsquo;activité ont grimpé de 51,7 % pour se fixer à Rs 268 millions. Les revenus du secteur progressent de Rs 2,3 milliards à Rs 3 milliards.u003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eLe groupe IBL a flairé le bon filon. La signature du0026rsquo;un accord de partenariat public-privé avec le gouvernement du Gabon, la semaine dernière, avec pour objectif de mettre en place une industrie des produits de la mer dans ce pays devrait permettre au groupe mauricien de déployer ses ailes sur le continent africain.u003c/pu003eu003cpu003eCette initiative au coût de Rs 1 milliard. Le potentiel quu0026rsquo;elle représente en termes de création de la valeur nu0026rsquo;a pas échappé aux investisseurs comme en témoigne la séance boursière de vendredi, soit au lendemain de la signature de lu0026rsquo;accord.u003c/pu003eu003cpu003eLors de cette séance qui a également vu la publication des résultats semestriels du groupe, les actions du0026rsquo;IBL ont grimpé de 3,8 % pour atteindre Rs 82,50.u003c/pu003eu003cpu003eLes analystes attribuent cette montée de lu0026rsquo;action IBL au double effet de lu0026rsquo;annonce de son expansion régionale à travers ses investissements et à la performance de la compagnie durant les six premiers mois de son année financière se terminant au 31 décembre 2012.u003c/pu003eu003cpu003eIBL a vu ses bénéfices nets augmenter de 21 % durant cette période pour atteindre 379 millions contre Rs 312 millions une année auparavant. Les revenus du groupe, qui sont également en progression, ont avoisiné Rs 10 milliards durant le premier semestre.u003c/pu003eu003cpu003eComme il fallait su0026rsquo;y attendre, cu0026rsquo;est la filière Seafood et industrie de la mer qui a porté la performance du0026rsquo;IBL durant les six mois écoulés. Les profits réalisés par les unités engagées dans ce secteur du0026rsquo;activité ont grimpé de 51,7 % pour se fixer à Rs 268 millions contre Rs 176 millions à la même période en 2011. Les revenus du secteur Seafood sont passés de Rs 2,3 milliards à Rs 3 milliards.u003c/pu003eu003cpu003eu003cstrongu003eLu0026rsquo;ingénierie en progressionu003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eLes bénéfices provenant des opérations dans le secteur de lu0026rsquo;ingénierie ont aussi enregistré une augmentation, mais pas de façon aussi conséquente que la filière Seafood. Les activités dans lu0026rsquo;ingénierie ont rapporté Rs 137,57 millions à IBL contre Rs 131,44 millions un an auparavant.u003c/pu003eu003cpu003eEn revanche, le commerce a vu sa contribution aux profits diminuer passant de Rs 96,76 millions à la fin de décembre 2011 à Rs 86,15 millions, lu0026rsquo;année dernière. Une situation qui peut su0026rsquo;expliquer par une plus grande compétition entre les différentes enseignes de lu0026rsquo;île. Alors que la consommation a tendance à stagner avec le ralentissement économique, le nombre de centres commerciaux et de grandes surfaces ne cesse du0026rsquo;augmenter du0026rsquo;année en année.u003c/pu003eu003cpu003eMais, avec le Seafood et lu0026rsquo;expérience acquise durant les quinze dernières années dans ce domaine, IBL dispose du0026rsquo;un véritable levier de croissance. Son association avec le Fonds Gabonais du0026rsquo;Investissements Stratégiques (FGIS) pour le développement du0026rsquo;une industrie de transformation des produits de la mer en est la preuve.u003c/pu003eu003cpu003eLes investissements consentis, soit de 25 millions du0026rsquo;euros répartis dans un ratio de 60:40 entre le groupe mauricien et le FGIS pour réorganiser et administrer une usine déjà existante, créer du0026rsquo;autres structures industrielles, favoriser le développement du0026rsquo;un secteur de pêche hauturière et du0026rsquo;un chantier naval témoignent également du0026rsquo;une volonté du0026rsquo;aller chercher la croissance hors de Maurice.u003c/pu003eu003cpu003eu0026laquo; Ce PPP rejoint notre vision de u0026laquo; Go beyond boundaries u0026raquo; et particulièrement vers le continent africain u0026raquo;, soutient du0026rsquo;ailleurs, Nicolas Maigrot, le Chief Executive Officer du0026rsquo;IBL.u003c/pu003eu003cpu003eEmployant plus de 7 000 personnes et opérant dans six secteurs du0026rsquo;activités, IBL est également présente en Ouganda grâce à une prise de participation à hauteur de 50 % dans la compagnie Fresh Cut Ltd.u003c/pu003e

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