u003cp style=text-align: justify;\u003eLe continent africain représentera 25 % de la population mondiale en 2050 contre 18 % en 2010. Une croissance démographique qui laisse entrevoir des perspectives intéressantes pour le secteur des assuran-ces. Intervenant lors de la conférence du0026rsquo;ABAX Corporate Services lundi, Richard Lowe, PDG du groupe Activa, leader du marché de lu0026rsquo;assurance-vie et de lu0026rsquo;assurance générale au Cameroun, a indiqué que lu0026rsquo;industrie des assurances nu0026rsquo;est pas bien développée en Afrique. Les opportunités y sont réelles, insiste-t-il.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eu0026laquo; u003cemu003ePar exemple, la République Démocratique du Congo, qui compte 80 millions du0026rsquo;habitants, compte pour lu0026rsquo;heure quu0026rsquo;un seul opérateur du0026rsquo;assurances. 93 % du marché des assurances en Afrique est partagé entre lu0026rsquo;Afrique du Sud, le Maroc, lu0026rsquo;Égypte, le Nigeria et le Kenyau003c/emu003e u0026raquo;, a-t-il indiqué. Lu0026rsquo;assurance représente aussi un véhicule du0026rsquo;investissement pour le citoyen africain. u0026laquo; u003cemu003eIl y a un besoin du0026rsquo;améliorer les infrastructures au niveau du continent. Par conséquent, les investissements seront de plus en plus importants. Il est évident que le soutien des assurances sera indispensable parce que personne ne voudra investir sans avoir la possibilité de sécuriser ses investissementsu003c/emu003e u0026raquo;, ajoute-t-il.u003c/pu003e
L’Afrique regorge de potentiel pour les assurances
