u003cpu003eEnviron 600 voiliers sud-africains, australiens, anglais, français transitent par la marina du quai chaque année, précise Philippe du0026rsquo;Arifat, le Centre Manager du Caudan Waterfront. u0026laquo;u003cemu003eNous sommes sanctionnés par eux sur le délestage du0026rsquo;huiles (qui se fait en dehors de notre zone du0026rsquo;opération) et lu0026rsquo;accumulation de saletés dans les eaux bordant notre front de meru003c/emu003eu0026raquo;, déplore-t-il. Une situation qui se renouvelle à chaque grosse pluie sur la capitale.u003c/pu003eu003cpu003eÀ plus grande échelle, vu la fréquentation de nos eaux par les plaisanciers de plusieurs nationalités, cette situation nuit à notre image. Pour endiguer ce problème, Philippe du0026rsquo;Arifat préconiseu0026nbsp;lu0026rsquo;étroite collaboration des activités économiques dans la zone portuaire et la Ports Authorityu0026nbsp;: u0026laquo;u003cemu003eNous souhaitons mettre en place avec la Ports Authority et tous les riverains qui ont des affaires dans la zone portuaire un u0026lsquo;Port Uses Responsibilities Charteru0026rsquo; afin du0026rsquo;assurer lu0026rsquo;entretien des lieux et le nettoyage des eaux autour de leurs entreprisesu003c/emu003e.u0026raquo;u003c/pu003e
Les déchets accostent Port-Louis
