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Maurice gagne 5 places au classement Doing Business

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Maurice gagne 5 places au classement Doing Business | business-magazine.mu

Maurice se positionne avantageusement dans le dernier rapport Doing Business 2013 publié par la Banque mondiale. Le pays améliore son classement, passant de la 24e à la 19e place sur 185 pays. Nous progressons sur deux critères : Getting Credit (de la 80e à la 53e place) et Resolving Insolvency (de la 83e à la 64e place). Par contre, Maurice perd deux places aux indicateurs Starting Business et Dealing with Construction Permits.

Singapour se trouve en première position du classement, suivi de Hong Kong et la Nouvelle-Zélande. Les États-Unis arrivent en 4e position, suivis du Danemark et de la Norvège. Maurice, qui atteint la 19e position, devance même l’Allemagne (20e), le Japon (24e) et les Emirats arabes unis (26e). Le deuxième pays le mieux placé de l’Afrique australe est l’Afrique du Sud qui ne se classe qu’à la 39e position.

Se mesurer aux pays concurrents

Le rapport Doing Business est un puissant outil qui aide les décideurs politiques à essayer d’améliorer constamment l’environnement réglementaire pour la conduite des affaires. L’un des moyens de s’améliorer est de savoir comment le pays de situe par rapport à la concurrence. Doing Business fournit ainsi un classement global sur la facilitation des affaires basé sur une série d’indicateurs. Bien que ce classement en dise long sur le climat des affaires d’un pays, il a ses limites. Le rapport fait d’ailleurs ressortir qu’un rang élevé ne signifie pas nécessairement que le gouvernement a créé un environnement réglementaire favorable aux affaires.

Certains domaines importants pour les entreprises, comme la proximité d’une économie aux grands marchés, la qualité de ses services d’infrastructures (autres que celles liées au commerce transfrontalier et à l’accès à l’électricité), la sécurité des biens contre le vol et le pillage, la transparence des marchés publics, les conditions macro-économiques ou la force sous-jacente des institutions ne sont pas directement étudiés par le rapport.

Terra joue la transparence

Le Groupe Terra, anciennement Harel Frères, décide de jouer la carte de la transparence en communiquant davantage avec la presse. C’était d’ailleurs l’objectif du Media Gathering organisé la semaine dernière. Créé en 1838, Harel Frères était à la base un groupe sucrier. Depuis, le groupe s’est diversifié et est devenu un conglomérat Car 72 % de ses actions appartiennent au Devenu Terra après un exercice de rebranding en 2011, le groupe constitue la cinquième plus grosse capitalisation boursière et compte 1 700 actionnaires.

Outre Terragri et Terramilling qui constituent le pôle agricole traditionnel, le groupe s’engage dans les suivantes : la production énergétique (Terragen), la production de liqueurs et de produits connexes (Grays Inc. et Grays Distilling), l’immobilier (Sagiterra), la construction (Terra Rock, Rehm Grinaker), l’investissement (Swan Insurance, Orange Madagascar, Horus) et les loisirs (l’Aventure du Sucre).
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