u003cpu003eFace à lu0026rsquo;exiguïté du marché local, le Groupe MCB voit son avenir dans la région. Pour asseoir sa présence en Afrique, la première banque de lu0026rsquo;île compte grandement sur ses partenaires. Du0026rsquo;où la tenue de la sixième édition de la conférence Africa Forward Together (15 au 20 novembre) qui regroupe 50 banquiers en provenance de 16 pays africains.u003c/pu003eu003cpu003eu0026laquo;Nous sommes déjà un u0026lsquo;dominant playeru0026rsquo; avec 40 % de parts de marché. Nous ne souhaitons pas aller au-delà. La seule façon de croître nos activités est donc du0026rsquo;élargir nos horizons. Cet élargissement passe par la région. Le nouveau marché, cu0026rsquo;est la régionu0026raquo;, a déclaré Pierre Guy Noël, Chief Executive du Groupe MCB.u003c/pu003eu003cpu003eLe Groupe ne compte pas forcément su0026rsquo;implanter dans les pays africains quu0026rsquo;il a dans son collimateur. Car, selon Pierre Guy Noël, il ne faut pas nécessairement être présent dans un pays pour pouvoir y investir, ajoutant que u0026laquo;nous sommes présents dans certains pays et intervenons aussi sur le financement des projets dans une multitude de pays africains en partenariat avec des banques correspondantes là-bas.u0026raquo;u003c/pu003eu003cpu003eInterrogé par u003cemu003eBusiness Magazineu003c/emu003e sur le potentiel que représente un marché indien en pleine expansion, le numéro un de la MCB a soutenu que son intérêt est tourné surtout vers lu0026rsquo;Afrique, mais que toute opportunité qui se présente sera considérée.u003c/pu003eu003cpu003eu003cstrongu003eSu0026rsquo;inspirer du succès de la mcbu003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eLu0026rsquo;un des délégués, Frantz Garbrah-Malm, Manager, Debts and Syndications de Fidelity Bank au Ghana, se félicite de cette conférence qui a été lu0026rsquo;occasion de tenir des discussions concrètes avec la MCB sur du0026rsquo;importants projets. u0026laquo;Le Ghana fait actuellement face à des problèmes é-nergétiques et est à la recherche du0026rsquo;investisseurs dans ce secteur. Ces projets peuvent valoir entre $ 100 et 200 millions chacun. Nous ciblons des banques partageant la même vision que la nôtreu0026raquo;, avance-t-il.u003c/pu003eu003cpu003eDe son côté, Nasoma Lionjanga, Head of Risk and Compliance de la National Development Bank du Botswana, est venue su0026rsquo;inspirer du succès de la MCB. u0026laquo;u003cemu003eLa National Development Bank est en processus de devenir une banque commerciale. Nous cherchons à en savoir plus sur lu0026rsquo;efficience de la MCB, surtout dans la banque de détail et la gestiou003c/emu003eu003cemu003en de trésorerieu003c/emu003eu0026raquo;, indique-t-elle.u003c/pu003e
Pierre Guy Noël: «La croissance du Groupe MCB se trouve dans la région»
