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Pourquoi Apollo Bramwell ne trouve pas preneur

u003cpu003eLe conseil du0026rsquo;administration de la National Insurance Company Healthcare Limited (NICHL) nu0026rsquo;est pas au bout de ses peines. Il su0026rsquo;est réuni pour la énième fois ce mardi 6 décembre dans le but du0026rsquo;essayer de trancher entre Lenmed Health Africa et Ciel Healthcare, les deux soumissionnaires qui se sont manifestés pour le rachat de lu0026rsquo;hôpital Apollo Bramwell. Selon nos renseignements, la NICHL est bien décidée à finaliser cette transaction du0026rsquo;ici à la fin de lu0026rsquo;année, lu0026rsquo;annulation du contrat avec le groupe britannique Omega Ark en octobre lu0026rsquo;ayant contrainte à de nouvelles négociations.u003c/pu003eu003cpu003eLenmed, qui était bien positionné au départ avec une nouvelle offre de $ 19 millions pour lu0026rsquo;acquisition du business et un loyer annuel de $ 1,4 million, impose à présent ses conditions. De fait, le groupe sud-africain voudrait apporter quelques changements au management interne du0026rsquo;Apollo Bramwell et aurait émis le souhait de reprendre la clinique en mars plutôt quu0026rsquo;en janvier, comme lu0026rsquo;aurait préféré la NICHL.u003c/pu003eu003cpu003ePar ailleurs, une réunion a eu lieu ce lundi 5 décembre entre la NICHL et les représentants du groupe Ciel. Ce, malgré les propos de Jean-Pierre Dalais, directeur général du groupe et président de Ciel Healthcare, rapportés par lu0026rsquo;express. Il laissait entendre à la mi-novembre que Ciel aurait u0026laquo;u003cemu003ele sentiment du0026rsquo;avoir été fortement lésé dans cet exerciceu003c/emu003eu0026raquo; si des éléments qui auraient fait pencher la balance en faveur de Lenmed avaient été négociés après la date butoir du 1u003csupu003eeru003c/supu003e novembre. Il apparaît donc que le groupe est toujours dans la course.u003c/pu003eu003cpu003eLoin de lâcher le morceau, il su0026rsquo;avère, en sus, quu0026rsquo;Omega Ark espère encore reprendre la clinique. Le groupe britannique a refait son apparitiondans lu0026rsquo;histoire avec la soumission du0026rsquo;une nouvelle offre il y a une dizaine de jours. Celle-ci, révisée à la hausse, propose un montant de $ 20 millions pour lu0026rsquo;achat du business. Le loyer annuel demeure cependant inchangé à $1,35 million et le soumissionnaire inclut une ouverture de 10 % de lu0026rsquo;actionnariat aux employés. Un représentant du0026rsquo;Omega Ark se trouve en ce moment à Maurice pour rencontrer le Chairman de la NICHL et discuter de cette proposition.u003c/pu003eu003cpu003eEntre-temps, la situation semble se redresser au niveau du chiffre du0026rsquo;affaires mensuel de lu0026rsquo;hôpital, qui est passé de Rs 45 millions en mars 2016 à Rs 87 millions en novembre. Pour que le seuil de rentabilité soit atteint, lu0026rsquo;établissement doit réaliser un chiffre du0026rsquo;affaires de Rs 95 millions. La NICHL, elle, espérait atteindre les Rs 100 millions de chiffre du0026rsquo;affaires du0026rsquo;ici à fin 2016, notamment à travers le recrutement de médecins internationaux. Il ne faut pas occulter, en outre, les Rs 600 millions de dettes que la vente de la clinique permettrait du0026rsquo;éponger.u003c/pu003eu003cpu003eu0026laquo;u003cemu003eCe nu0026rsquo;est pas lu0026rsquo;objectif du gouvernement du0026rsquo;acquérir cet hôpitalu0026raquo;, apprend-on de sources proches du dossier. La NICHL, qui reçoit plusieurs u0026laquo;unsolicited international bidsu003c/emu003eu0026raquo;, aspire ainsi à trouver un terrain du0026rsquo;entente avec Lenmed ou Ciel dans les plus brefs délais. Les négociations risquent toutefois de buter sur un autre écueil : la structure du0026rsquo;Apollo Bramwell ; au sein de lu0026rsquo;établissement, les employés, les opérations, lu0026rsquo;école de soins infirmiers et la restauration sont gérés par quatre compagnies différentesu0026hellip;u003c/pu003e

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