u003cpu003eLu0026rsquo;indicateur du climat des affaires publié par la Chambre de Commerce et du0026rsquo;Industrie (CCI) a reculé de 6,7 % au deuxième trimestre 2014, pour su0026rsquo;établir à 79,6 %. Un faible niveau qui reflète bien la situation économique actuelle caractérisée par une croissance régulière u0026laquo; u003cemu003emais qui ne décolle pasu003c/emu003e u0026raquo;, explique Renganaden Padayachy, économiste à la Chambre.u003c/pu003eu003cpu003eLa baisse de lu0026rsquo;indicateur démontre que le pays est toujours dans une période du0026rsquo;après-crise. u0026laquo; u003cemu003eLu0026rsquo;économie évolue de manière cyclique. Malheureusement, ce nu0026rsquo;est pas si facile de sortir du cycle actuelu003c/emu003e u0026raquo;, poursuit Renganaden Padayachy. Le baromètre économique, au deuxième trimestre, a été assez négatif. Toutefois, les entrepreneurs gardent le cap et demeurent optimistes pour le reste de lu0026rsquo;année, remarque la Chambre.u003c/pu003eu003cpu003eLes raisons qui expliquent la baisse de lu0026rsquo;indicateur du climat des affaires sont, en premier, la faiblesse de la demande interne.u0026laquo; u003cemu003eIl faudrait une hausse conséquente de la consommation pour arriver à une croissance de plus de 5 %. Sans une hausse de la consommation, il nu0026rsquo;y aura pas du0026rsquo;investissement, donc pas de croissance poussée. Avant la crise, la consommation connaissait une croissance de plus de 6,5 % alors que depuis la crise, elle ne croît quu0026rsquo;à des taux inférieurs à 3 %u003c/emu003e u0026raquo;, observe lu0026rsquo;économiste.u003c/pu003eu003cpu003eLes autres raisons sont la compétition féroce sur le marché local et le coût du capital.u003c/pu003e
Repli de 6,7 % de l’indicateur du climat des affaires
