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Secteur d’exportation: sept filières d’avenir identifiées

u003cpu003eEn juillet 2014, le gouvernement, de concert avec lu0026rsquo;International Trade Centre, annonçait la mise en place du0026rsquo;une stratégie nationale pour lu0026rsquo;exportation u0026ndash; National Export Strategy (NES). Lu0026rsquo;objectif étant de doper la croissance des entreprises tournées vers lu0026rsquo;exportation.u003c/pu003eu003cpu003ePar la suite, une équipe comprenant des représentants du gouvernement et du secteur privé devait être constituée. À partir des conclusions du rapport Strategic Trade Development Roadmap, qui est le résultat de consultations élargies en 2014, lu0026rsquo;équipe du NES a identifié sept filières présentant un réel potentiel de croissance pour le secteur du0026rsquo;exportation. Il su0026rsquo;agit de lu0026rsquo;aquaculture, de la transformation alimentaire, de la bijouterie, des équipements médicaux, des services financiers, du développement de logiciel et du tourisme culturel.u003c/pu003eu003cpu003eu0026laquo;u003cemu003eCertains secteurs ont été revus en fonction de la Vision 2030. Il y a bien sûr du0026rsquo;autres secteurs importants, mais qui ne sont pas prioritaires. Nous nu0026rsquo;allons, par exemple, pas développer une stratégie pour le textile car cu0026rsquo;est un secteur bien structuré et ayant une bonne contribution au développement économiqueu003c/emu003eu0026raquo;, fait ressortir Yousuf Salehmohamed, NES Navigator.u003c/pu003eu003cpu003eu003cstrongu003eLe rapport de la NES soumis en mars 2016u003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eUn rapport final sur la NES sera soumis au gouvernement du0026rsquo;ici à mars 2016 afin de mettre en œuvre les recommandations et permettre le vote de budgets additionnels, si nécessaires, dans les secteurs identifiés.u003c/pu003eu003cpu003eLe Strategic Trade Development Roadmap met en exergue les problématiques auxquelles il faut su0026rsquo;attaquer pour consolider le secteur du0026rsquo;exportation. Parmi, il y a la nécessité de diversifier nos marchés. À ce jour, deux tiers de nos exportations sont dirigées vers lu0026rsquo;Europe et les États-Unis. u0026laquo;Le pays dépend grandement des partenaires traditionnels pour ses exportations. La SADC et le COMESA comptent uniquement pour 16 % et 9 % des exportationsu0026raquo;, fait ressortir Darius Kurek, de la division Country Programmes de lu0026rsquo;International Trade Centre.u003c/pu003e

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