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Tic – Externalisation Performance encourageante du privé et appui étatique satisfaisant

u003cp style=text-align: justify;\u003eLa progression du secteur des Tic et de l’externalisation a été soutenue. En dépit de sa puérilité, ledit secteur a su se montrer résilient face aux ondes de choc de la crise économique dans la zone euro, avec une croissance de 40 % au cours des cinq dernières années, indiquent les chiffres de la BOI.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eLe nombre d’opérateurs n’a également pas cessé de croître depuis la formulation du u003cemu003eNational Strategic Planu003c/emu003e de 1998 et la mise en place d’une structure accompagnatrice. En 2004, Maurice comptait 72 opérateurs et moins d’une décennie plus tard, soit en 2011, le secteur atteint la barre des 500 opérateurs. Suivant quelques délocalisations, le nombre d’opérateurs recensés par la BOI s’élève à 497 pour l’an 2012.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eu003cimg alt=\ class=imgFloatRight src=/sites/www.businessmag.mu/files/uploads/1062/16.png style=width: 200px; height: 300px;\u003e« u003cemu003eLa croissance du secteur progresse d’année en année. Elle a été stable à 13 % en 2009 et en 2010, avant de reculer légèrement à 10,5 % en 2011. Selon les estimations, la croissance se chiffrera à 9,2 % pour l’année 2012 u003c/emu003e», indique Roshan Seetohul, le président deu003cemu003e l’Outsourcing and Telecommunications Association of Mauritiusu003c/emu003e (OTAM).u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eIl fait remarquer que ce ralentissement de croissance ne devrait pas être mal interprété. Car ces chiffres indiquent que, malgré la morosité économique globale, le secteur reste dynamique et continue de croître, observe-t-il.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eD’où l’ambition du ministère des Tic de positionner le secteur comme principal pilier de l’économie locale. Il s’agit en toute évidence d’un secteur en plein essor qui emploie 16 800 personnes à ce jour, avec une contribution de 6,8 % au PIB national. Le chiffre d’affaires du secteur s’élève à Rs 1 milliard.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eLes instances internationales confirment la santé du secteur tout en indiquant l’intérêt d’investir à Maurice. Comme l’indique Vasenden Dorasami, u003cemu003eSenior Adviseru003c/emu003e au ministère des Tic, « u003cemu003eles investisseurs potentiels se penchent sur trois rapports de classification de destination d’investissement en fonction de leur due diligence, en l’occurrence le WEF Global Information Technology Report, le Gartner Report et l’A.T. Kearney Global Services Location Index Report. Maurice s’est classé parmi les 30 meilleures destinations dans le rapport Gartner, en 53e position dans le rapport WEF et à la 36e place dans l’A.T. Kearney Report. Le fait d’être sur ces répertoires nous donne une visibilité accrue pour attirer les investisseurs étrangers. u003c/emu003e»u003c/pu003e

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