u003cpu003eCe premier semestre qui tire à sa fin nu0026rsquo;a pas été empreint de grande sérénité pour le pays et lu0026rsquo;économie. Pour cause, les positionnements et repositionnements sur lu0026rsquo;échiquier politique depuis lu0026rsquo;annonce du projet de réforme électorale continuent de faire planer le flou quant aux prochaines configurations. Une situation qui est qualifiée de malsaine dans le milieu des affaires.u003c/pu003eu003cpu003eLes tergiversations sur lu0026rsquo;échiquier politique ont fini par saper le moral du ministre des Finances. De guerre lasse, Xavier-Luc Duval, ainsi que les deux membres de son parti, a claqué la porte du gouvernement, vendredi dernier, pour aller grossir les rangs de lu0026rsquo;Opposition parlementaire. Avec la nouvelle configuration sur la scène politique et les tractations qui ont toujours cours, ilu0026nbsp;est difficile du0026rsquo;imaginer lu0026rsquo;économie reprendre le pas sur la politique. Même le secteur privé ne se berce pas du0026rsquo;illusions sur la question. La dégradation de lu0026rsquo;indicateur synthétique du climat des affaires, au premier trimestre, caractérise, du0026rsquo;ailleurs, le moral des entrepreneurs du pays face au remue-ménage politique. u0026laquo;u0026nbsp;u003cemu003eHeureusement, les institutions continuent à tourner, mais il est clair quu0026rsquo;il nu0026rsquo;y aura pas de u0026lsquo;big decisionsu0026rsquo;u0026nbsp;u003c/emu003eu0026raquo;, lâche un opérateur du privé.u003c/pu003eu003cpu003eu003cemu003eBusiness Magazine u003c/emu003eanalyse cette semaine les tergiversations sur la scène politico-économique.u003c/pu003e
Des signaux brouillés dans le paysage politico-économique
