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Entrepreneuriat féminin Pour plus de reconnaissance

u003cp style=text-align: justify;\u003eLa femme contribue à hauteur de 43 % à l’économie nationale. Cette contribution doit être reconnue à sa juste valeur, estime-t-on au sein de l’Association Mauricienne des Femmes Chefs d’Entreprises (AMFCE).u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003e«u003cemu003e Nous avons soif de reconnaissance. Il est impératif qu’on arrête de nous cantonner dans des petits rôles et qu’on cesse de nous mettre à l’écart. L’entrepreneuriat féminin ne se résume pas qu’à la fabrication d’achardsu003c/emu003e », observe Vimi Appadoo, présidente de l’association.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eLes femmes entrepreneures souhaitent avoir un accès plus rapide aux finances, plus de soutien de la part des organismes gouvernementaux et que les ministères s’occupant du développement économique leur accordent la considération voulue.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003e«u003cemu003e Il y a eu trois comités prébudgétaires et l’AMFCE n’a jamais été conviée. Et pourtant, u003c/emu003enu003cemu003eotre association féminine est affilée au très populaire FCEMu003c/emu003e», déplore Vimi Appadoo.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003ePour dynamiser l’entrepreneuriat, féminin, elle propose de définir un plan d’action sur trois ans et qu’on en fasse la promotion comme un secteur noble, respectable et qui contribue au développement économique.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eVimi Appadoo se demande, par ailleurs, comment ont été utilisées les Rs 98 millions allouées lors du Budget 2012 pour favoriser l’autonomisation de la femme entrepreneure : « u003cemu003eUn an après, on ne sait pas comment cette somme a été utilisée. Chez l’AMFCE, on reste sceptique quant aux mesures prises pour permettre aux femmes de contribuer plus à l’économie nationale. De notre côté, on n’a rien vu s’accomplir.u003c/emu003e »u003c/pu003e

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