u003cp align=left\u003eu003cstrongu003eAujourdu0026rsquo;hui, avoir des bureaux à Port-Louis nu0026rsquo;est plus unu0026nbsp;u0026laquo;u0026nbsp;mustu0026nbsp;u0026raquo; pour les entreprises locales et étrangères. Conséquenceu0026nbsp;: à Ebène et dans du0026rsquo;autres régions de lu0026rsquo;île, les projets à vocation professionnelle se multiplient. État des lieux.u003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eEbène monte en puissance. Depuis quelques années, la région supplée Port-Louis en tant que centre des affaires.u003c/pu003eu003cpu003eAlors que la Capitale constituait autrefois le centre névralgique des opérations économiques et financières de lu0026rsquo;île, désormais, force est de constater que des banques, firmes comptables et autres entreprises spécialisées dans les technologies de lu0026rsquo;information et de la communication (Tic), ont choisi de su0026rsquo;implanter à Ebène.u003c/pu003eu003cpu003eLa technopole a par ailleurs permis la construction de bâtiments correspondant aux normes internationales, susceptibles du0026rsquo;accueillir des entreprises particulièrement exigeantes de ce point de vue.u003c/pu003eu003cpu003eLa tendance se poursuivant, les constructions à vocation professionnelle se sont multipliées dans la région de la cybercité, avec pour effet une baisse au niveau des coûts de location et de vente de ces espaces. Ainsi, à décembre 2012, selon les informations disponibles, pas moins de 33 projets ont été terminés à Ebène, totalisant environ 400 000 mu0026sup2; du0026rsquo;espace et représentant des investissements de lu0026rsquo;ordre de Rs 10 000 millions.u003c/pu003eu003cpu003eLu0026rsquo;un des projets actuellement en cours de réalisation est The Core, un immeuble de 15 niveaux destiné à la Sugar Investment Trust Property Development Ltd. Cette structure couvre une superficie de 28 150 mètres carrés et proposera des unités de bureaux individuelles de 50 à 1 050 mu0026sup2; dont la conception et lu0026rsquo;aménagement seront modulables selon les spécifications des occupants.u003c/pu003eu003cpu003eu003cstrongu003eRéduire les bouchons à Port-Louisu003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eUn autre projet qui verra le jour le jour dans la même région est The Junction, du tandem S. Currimjee et M. Goupille. Il offrira 101 unités de bureaux du0026rsquo;une superficie de 335 à 1 900 pieds carrés avec des prix variant de Rs 1,19 à Rs 11,3 millions en toute propriété mais avec certains services en copropriété.u003c/pu003eu003cpu003eDans les autres régions de lu0026rsquo;île, les promoteurs concernés espèrent quu0026rsquo;avec les facilités offertes aux investisseurs étrangers en vue du0026rsquo;une éventuelle implantation à Maurice, des espaces déjà construits seront rentables à la longue.u003c/pu003eu003cpu003ePar ailleurs, les solutions visant à réduire les problèmes de circulation à Port-Louis pourraient apporter un nouveau souffle au Beau-Plan Business Park, dans le Nord. Quant au Moka Business Park, le taux du0026rsquo;occupation y est satisfaisant et il continue à être sollicité, surtout par des entreprises de moyenne importance. ENL Property su0026rsquo;intéresse aussi à ce secteur du0026rsquo;activité et a lancé Vivea Business Park sur une superficie de 45 arpents, dans lu0026rsquo;enceinte de lu0026rsquo;ancienne sucrerie de Mon Désert Alma fermée depuis 2007.u003c/pu003eu003cpu003eLes nombreuses entreprises déjà installées y bénéficient du0026rsquo;un emplacement intéressant de par sa situation à Moka, au cœur de lu0026rsquo;île. Du0026rsquo;autres avantages incluent des facilités dont les réseaux téléphonique et électrique souterrains ainsi quu0026rsquo;une aire de stationnement spacieuse.u003c/pu003eu003cpu003eLà encore, les développements routiers rendront plus accessibles ces bureaux dont lu0026rsquo;inauguration aura lieu en 2013.u003c/pu003eu003cpu003eàMaurice, lu0026rsquo;immobilier réserve également des surprises pour ce qui est des espaces impartis aux bureaux. Ainsi, plutôt que de laisser vides des bâtiments déjà construits, des promoteurs préfèrent opter pour une révision de leurs prix de vente ou de location initiaux. Une tendance qui ne laisse pas indifférentes nombre du0026rsquo;entreprises qui voient là lu0026rsquo;occasion idéale de quitter des bâtiments trop petits ou anciens pour des structures à la fois pratiques et confortables.u003c/pu003eu003cpu003eLes espaces ainsi libérés ne sont pas en reste puisquu0026rsquo;ils accueillent à leur tour des entreprises plus modestes qui y trouvent aussi leur compte. Les compagnies mauriciennes et autres investisseurs étrangers ont donc à leur disposition, aujourdu0026rsquo;hui, un vaste choix quant aux locaux où ils souhaiteraient su0026rsquo;installer. Tout est une question de moyens et de préférence en matière de lieu.u003c/pu003eu003cpu003eu003cspan style=color:#008080;\u003eu003cstrongu003eRegain du0026rsquo;intérêt pour Port-Louisu003c/strongu003eu003c/spanu003eu003c/pu003eu003cpu003eu003cspan style=color:#008080;\u003eAu cours de ces deux dernières années, la Capitale a suscité un regain du0026rsquo;intérêt su0026rsquo;agissant des espaces bureaux. Des projets ont déjà été livrés ou sont sur le point de lu0026rsquo;être. Ils comprennent les Sterling Tower, Hennessy Court et Hennessy Tower et bientôt le nouveau bâtiment de la State Insurance Company of Mauritius (SICOM).u003c/spanu003eu003c/pu003e
Espaces bureaux : une décentralisation entre réussite et espoir
