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Gel du processus de privatisation

u003cpu003eLe désengagement de lu0026rsquo;État des secteurs productifs et un appel aux capitaux étrangers à se fructifier au pays. Voilà comment la privatisation des sociétésu0026nbsp; du0026rsquo;État a été présentée en 1997. Un premier lot de 49 entreprises appartenant à lu0026rsquo;État a été identifié pour être vendues par appel du0026rsquo;offres. Une des conditionnalités, à lu0026rsquo;époque, imposées par le FMI pour une reprise de sa collaboration avec Madagascar. Mais chemin faisant, lu0026rsquo;opération su0026rsquo;est révélée être délicate et complexe. Elle brillait aussi par son opacité.Le dernier bilan des diverses transactions remonte en 2002, faisant état du0026rsquo;environ 50 milliards du0026rsquo;ariary de recettes globales.Elle a souvent abouti à la compression du personnel à cause de lu0026rsquo;approche selon la compétence adoptée par des repreneurs. Moins du0026rsquo;effectif, plus du0026rsquo;efficacité. Un virage à 360u0026deg; pour des fonctionnaires habitués à percevoir leurs salaires à chaque fin de mois sans se soucier des performances de leurs entreprises.u003c/pu003eu003cpu003eAu final, seules les activités en amontet en aval des hydrocarbures et celles des télécommunications ont été privatisées dans leur totalité. Lu0026rsquo;État garde tout de même un œil vigilant sur cesu0026nbsp; deuxsecteurs par des offices de régulation. Pour les finances, des agents des banques privatisées ayant perdu leurs postes par le départ volontaire attendent encore du0026rsquo;être indemnisés de leur dévouement…u003c/pu003eu003cpu003eu003cemu003eu003cstrongu003eÀ lire la suite dans lu0026#39;édition papier de Business Magazineu003c/strongu003eu003c/emu003eu003c/pu003e

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