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Gerald Lincoln : « Maurice peut s’endetter jusqu’à 80 % de son PIB »

u003cpu003eDoper la consommation, endetter davantage le pays pour investir dans de gros projets infrastructurels, attirer des professionnels étrangers et baisser le taux directeur. Ce sont là quelques-uns des ingrédients pour une croissance plus forte, selon Gerald Lincoln, Country Managingu0026nbsp; Partner du0026rsquo;EY.Si on avait 10 000 expatriés qui venaient vivre à Maurice du0026rsquo;ici les deux ou trois prochaines années, cela aurait, note-t-il, un effet énorme en termes de dopage de la croissance. Il pense que lu0026rsquo;un des moyens de doper une économie est de mettre de lu0026rsquo;argent dans la main des consommateurs afin quu0026rsquo;ils augmentent leurs dépenses. Il ajoute que le pays a besoin de nouvelles idées et de changements de politiques qui permettraient de booster la croissance, mais insiste quu0026rsquo;il serait utopique de penser que lu0026rsquo;on peut avoir du 10 ou 12 % de croissance comme dans le passé.u003c/pu003e

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