u003cpu003eLe prix garanti sous le Protocole Sucre et la dépréciation graduelle de la roupie ont permis au secteur sucrier de survivre jusquu0026rsquo;en 2009. u0026laquo;u0026nbsp;u003cemu003eCes deux conditions nu0026rsquo;existant plus, lu0026rsquo;industrie est désormais exposée aux aléas du marchéu0026nbsp;u003c/emu003eu0026raquo;, observe le CEO du Syndicat des Sucres. Jean-Noël Humbert note que bien que la consommation mondiale augmente de plus de 3 millions de tonnes de sucre chaque année, certains éléments donnent à croire que les marchés sucriers seront plus tendus dans le moyen à long terme et quu0026rsquo;en conséquence nous pourrions espérer obtenir de meilleurs prix sur nos exportations. Il prévient toutefois quu0026rsquo;il faut se préparer au pire car si nous ne mettons pas en place un nouveau cadre opérationnel qui soit capable de mieux répondre aux nouvelles exigences du marché, lu0026rsquo;industrie su0026rsquo;étiolera.u003c/pu003e
Jean-Noël Humbert, CEO du Syndicat des Sucres : « Progresser vers plus de valeur ajoutée »
