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Les deux options qui s’offrent à Maurice

u003cp style=text-align: justify;\u003eLe u003cemu003ePrivate Equityu003c/emu003e comme véhicule d’investissement peut servir Maurice de deux façons. Soit en nous positionnant comme une porte d’entrée vers le continent africain, soit en attirant les investissements vers nos firmes locales pour leur permettre de grossir en augmentant leur capital.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eLa seconde option est la moins intéressante car les hommes d’affaires mauriciens sont réticents à céder une partie ou l’intégralité de leurs actions à des entités étrangères pour lever des fonds. Ils préfèrent surtout l’option consistant à contracter des dettes.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eToutefois, cette seconde option semble la plus appropriée dans le contexte économique mondial. « u003cemu003eDans le sillage des incertitudes grandissantes sur les marchés européens, nous constatons une réelle opportunité pour les compagnies locales d’avoir recours au investissement de PE au lieu de contracter des dettes pour augmenter le capital, pour accroître leurs bases commerciales u003c/emu003e», analyse Thierry Hugnin. Et d’ajouter que les entrepreneurs locaux devraient se montrer moins méfiants et accueillir cette option comme un moyen de financement susceptible de faire progresser leurs entreprises car il s’agit d’une « u003cemu003erecette qui a fait ses preuves dans d’autres parties du monde et qui sera définitivement une réussite à Maurice égalementu003c/emu003e ».u003c/pu003e

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