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Sucre : maintenir le cap

u003cp style=text-align: justify;\u003eLes efforts mis en oeuvre jusqu’ici pour assurer la compétitivité de l’industrie sucrière doivent se poursuivre, insiste Jean- Noël Humbert, u003cemu003eChief Executive Officer u003c/emu003edu Syndicat des sucres.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003e« u003cemu003eIl nous faut assurer la continuité de notre projet visant à convertir notre industrie sucrière en une industrie cannière. Nous sommes déjà bien engagés sur cette voie avec les investissements colossaux effectués par les principaux acteurs de l’industrie. Il nous faut également poursuivre nos efforts afin de préserver les surfaces cultivées, mais dans le respect des engagements passés s’agissant de la conversion des terres et qui font partie intégrante du nouveau modèle de développement du secteuru003c/emu003e », commente Jean-Noël Humbert.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eDans le dernier Budget, le gouvernement avait pris en compte les difficultés rencontrées par les producteurs sucriers en particulier les petits et les moyens planteurs. Parmi les mesures qui avaient été annoncées, la reconduite du prêt à taux bonifié de la Banque de Maurice afin de permettre au Syndicat des sucres d’effectuer une avance de 80 % sur les recettes accordées en début de récolte, la remise de 70 % accordée à tous les producteurs sur la prime au Sugar Insurance Fund Board et le remboursement total de la TVA sur les équipements et autres outillages achetés par les petits planteurs durant l’année. Une enveloppe de Rs 310 millions a aussi été mise à disposition pour la poursuite duu003cemu003e Field Operations Regroupingu003c/emu003e u003cemu003eand Irrigation Programmeu003c/emu003e. Or, malgré toutes ces mesures, le taux d’abandon des terres sous culture est en constante diminution. Cette année, la surface récoltée sera moindre de 2 000 hectares en comparaison à la précédente récolte. Pour Jean- Noël Humbert, « u003cemu003ela perte de superficie se passe surtout chez les plus petits producteurs. Il s’agit de comprendre quelles sont les vraies raisons qui sous-tendent une telle situation.u003c/emu003e »u003c/pu003e

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