u003cpu003eLu0026rsquo;industrie sucrière passe par pas mal de turbulences et devra relever du0026rsquo;importants défis. De lu0026rsquo;avis de Salil Roy, président de la Plantersu0026rsquo; Reform Association, il est impératif que le nouveau gouvernement accorde une attention particulière à lu0026rsquo;abandon des terres. Depuis 2008, quelque 11 500 hectares de terre ont été abandonnés par les planteurs.u003c/pu003eu003cpu003eu0026laquo; Le nouveau gouvernement doit prendre des mesures pour stopper lu0026rsquo;érosion des petits plan-teurs. Ce secteur a quand même été lu0026rsquo;épine dorsale de notre éco-nomie. Les petits planteurs sont prêts à jouer le jeu u0026raquo;, fait ressortir Salil Roy.u003c/pu003eu003cpu003eAu niveau de la Plantersu0026rsquo; Reform Association, on compte proposer au gouvernement une série demesures pour remettre sur les rails le secteur sucrier. Lu0026rsquo;une du0026rsquo;elles est la révision du prix de la bagasse qui est utilisée pour la production du0026rsquo;énergie. u0026laquo; Les planteurs touchent actuellement une somme dérisoire sur le prix de la bagasse. Nous voudrions que le gouvernement se penche sur la question. Nous espérons également que lu0026rsquo;ouverture de lu0026rsquo;actionnariat dans lu0026rsquo;industrie sucrière soit bientôt enclenchée u0026raquo;, souligne Salil Roy.u003c/pu003eu003cpu003eLes petits planteurs souhaitent, par ailleurs, que le nouveau gouvernement appuie leurs initiatives de marketing et les aide à trouver du0026rsquo;autres marchés pour les sucres spéciaux.u003c/pu003e
Sucre: remettre sur les rails un secteur affaibli
