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HM Technologies à la conquête de la région

u003cpu003eu003cstrongu003eLa division informatique de la compagnie Harel Mallac fête, cette année, ses 25 ans du0026rsquo;existence à Maurice. Aujourdu0026rsquo;hui, elle ambitionne du0026rsquo;étendre ses activités dans la région de lu0026rsquo;océan Indien.u003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eSu0026rsquo;orienter davantage vers les services informatiques. Cu0026rsquo;est dans cette optique que la compagnie Harel Mallac (auparavant Harel Mallac Computers), fondée par Antoine L. Harel, su0026rsquo;est lancée, dès ses débuts en 1988, dans ce domaine. u0026laquo; u003cemu003eÀ lu0026rsquo;époque, la compagnie distribuait la marque du0026rsquo;ordinateur CAF, en provenance de Taïwan. Par la suite, elle a importé la marque ACER à Maurice, quu0026rsquo;elle représente encore aujourdu0026rsquo;huiu003c/emu003e u0026raquo;, explique Alain Ah-Sue, Managing Director de HM Technologies.u003c/pu003eu003cpu003eEn 1990, Harel Mallac Computers devient un des distributeurs du0026rsquo;IBM. u0026laquo; u003cemu003eIBM était, à lu0026rsquo;époque, le leader mondial su0026rsquo;agissant des PCu003c/emu003e u0026raquo;, fait remarquer Alain Ah-Sue. En outre, la compagnie se lance dans la commercialisation des solutions informatiques. Trois ans plus tard, elle sort le grand jeu en devenant le premier distributeur de Microsoft à Maurice. u0026laquo; u003cemu003eNous nous considérons comme une entreprise qui a encouragé les Mauriciens à adopter Microsoft u003c/emu003eu0026raquo;, souligne notre interlocuteur.u003c/pu003eu003cpu003eLe créneau des ordinateurs étant porteur, Harel Mallac Computers rachète, en 2001, la division informatique du0026rsquo;IBL. u0026laquo; u003cemu003eCe rachat su0026rsquo;inscrivait dans notre stratégie et nous a permis de compléter nos produits et nos solutions. Grâce à IBL, nous avons récupéré la marque Dell et tout un portefeuille clientèle u003c/emu003eu0026raquo;, fait ressortir Alain Ah-Sue.u003c/pu003eu003cpu003eu003cstrongu003eCréneau porteuru003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eAussi, Harel Mallac Computers a-t-elle fait lu0026rsquo;acquisition du0026rsquo;une branche du0026rsquo;IBL basée au Mayotte et du0026rsquo;une seconde sise à Madagascar. En 2004, lu0026rsquo;entreprise consolide sa place sur le marché local. u0026laquo; u003cemu003eOn disposait alors de plusieurs sociétés : HM Electronics, qui se spécialisait dans le service après-vente ; HM Communication, un des premiers distributeurs de téléphones portables de la marque Ericsson et Missil notamment ; ou encore Techno Shop. En 2004, on a décidé de regrouper ces sociétés et Harel Mallac Computers sous une seule enseigne : HM Technologiesu003c/emu003e u0026raquo;, explique Alain Ah-Sue. Et du0026rsquo;ajouter : u0026laquo; u003cemu003eÀ partir de là, on a introduit des logiciels, des solutions et des ERP. HM Technologies su0026rsquo;est aussi spécialisée dans lu0026rsquo;implantation du0026rsquo;autres technologies.u003c/emu003e u0026raquo;u0026nbsp;u0026nbsp;u003c/pu003eu003cpu003eA ce jour, HM Technologies compte 225 employés contre six à ses débuts. Elle affiche un chiffre du0026rsquo;affaires de Rs 350 millions en comparaison à Rs 30 millions lorsquu0026rsquo;elle su0026rsquo;est lancée sur le marché. Et lu0026rsquo;avenir, HM Technologies lu0026rsquo;envisage avec ambition. u0026laquo; u003cemu003eNous voulons être un fleuron de la technologie à Maurice, voire dans la région de lu0026rsquo;océan Indien. Même si le marché local reste notre principal u0026lsquo;focusu0026rsquo;, HM Technologies a lu0026rsquo;ambition du0026rsquo;étendre ses activitésu003c/emu003e u0026raquo;, précise Alain Ah-Sue. Déjà présente à Madagascar et au Rwanda, HM Technologies aspire ainsi à toucher du0026rsquo;autres pays de la région.u003c/pu003eu003cpu003eCependant, lu0026rsquo;entreprise est moins ambitieuse lorsquu0026rsquo;il su0026rsquo;agit de lu0026rsquo;Afrique. Lu0026rsquo;Afrique est une belle opportunité. Mais on est réaliste. On se retrouve face à certaines difficultés, explique notre interlocuteur. La première, cu0026rsquo;est le coût pour ouvrir une antenne sur ce continent. La seconde, cu0026rsquo;est la connectivité par voie aérienne. Certains pays du0026rsquo;Afrique nécessitent trois à quatre transits, souligne Alain Ah-Sue.u003c/pu003eu003cpu003eAinsi, pour se frayer un chemin vers lu0026rsquo;Afrique, HM Technologies au0026nbsp; opté pour une autre stratégie, explique-t-il : u0026laquo; u003cemu003eNous essayons de trouver des partenaires en Afrique. Pour le moment, on ne fera aucun investissement direct.u003c/emu003e u0026raquo;u003c/pu003eu003ch3 style=color: blue; text-align: center;\u003eInvestissement direct : la prudence est de miseu003c/h3u003eu003cdiv style=color: blue;\u003eBien que le secteur des technologies soit prospère, il a subi les effets de la crise financière. Cu0026rsquo;est pourquoi, les entreprises sont prudentes su0026rsquo;agissant de leurs investissements, explique Alain Ah-Sue, Managing Director de HM Technologies. Selon lui, u0026laquo; les entreprises sont davantage vigilantes lorsquu0026rsquo;il su0026rsquo;agit de renouveler leurs systèmes informatiques ou du0026rsquo;investir dans de nouveaux programmes u0026raquo;.u003c/divu003e

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