Business Magazine

L’assurance maritime : un créneau prometteur ?

u003cp style=text-align: justify;\u003eÀ première vue, les compagnies d’assurance pourraient tirer profit du développement dans le secteur de la logistique d’autant plus que les possibilités sont multiples. Sont assurables, entre autres, le bateau (Hull), la marchandise (Cargo), les conteneurs, la perte de revenus à la suite d’un dommage au navire assuré ainsi que le fret.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eOr, si la plupart des compagnies d’assurance à Maurice sont déjà équipées pour répondre à toute demande, il faut toutefois garder les pieds sur terre. Bruno Nalletamby, u003cemu003eManager Marineu003c/emu003e de Swan Insurance, explique : «u003cemu003e Ces navires sont en général déjà assurés à l’étranger. S’agissant de la marchandise importée ou transitant par Maurice, là encore la concurrence étrangère est féroce vu le volume d’affaires traité par ces compagnies. Mais nous arrivons quand même à tirer notre épingle du jeu grâce aux importateurs locaux qui nous font de plus en plus confiance.u003c/emu003e »u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eA savoir que l’assurance pour les différents types de navires consiste pratiquement en des couvertures-type pratiquées par la majorité des marchés d’assurance à travers le monde.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003e« u003cemu003eLes prix et les conditions varient en fonction des sommes assurées, de l’âge et de l’état du navire, de la situation géographique et géopolitique de navigation et de la réputation de la ligne maritime, entre autres u003c/emu003e», précise Bruno Nalletamby. Il indique que les pertes les plus communes sont, entre autres : les périls en mer, l’explosion, l’incendie, la piraterie, le dommage accidentel, la guerre, les dommages causés par des activités terroristes ou des grèves, l’avarie commune (u003cemu003egeneral damageu003c/emu003e). « u003cemu003eLe contrat ne couvre pas les risques qui ne sont pas liés aux dommages physiques, comme les pertes encourues suite au retard causé par une panne, le vice propre des marchandises ou la faute intentionnelle de l’assuré u003c/emu003e», tient-il à préciser.u003c/pu003eu003cp style=text-align: justify;\u003eA noter que le département des assurances maritimes de la Swan existe depuis 1978 et compte aujourd’hui plusieurs employés qui ont plus de 25 ans d’expérience dans ce domaine.u003c/pu003e

Exit mobile version