u003cp class=rtejustify\u003eTerra est implanté en Côte d’Ivoire depuis 1997 à travers Sucrivoire, dans laquelle il détient 25 % des capitaux. Le groupe a choisi d’étendre ses activités en Afrique car le marché mauricien est petit, et limitait donc ses possibilités. « u003cemu003eNous avons choisi l’Afrique car le continent était un importateur net de sucre et que certains pays africains encourageaient les investisseurs étrangers à investir localement en accordant des facilités intéressantes, incluant l’accès à la terre. La Côte d’Ivoire était un bon choix en 1997, car le pays était parmi les meilleurs risques africains de l’époque. Nos deux usines ont été en partie rachetées du gouvernement ivoirien en association avec le Groupe Sifcau003c/emu003e », indique Sébastien Mamet, Strategic Development Executive de Terra.u0026nbsp;u003c/pu003eu003cp class=rtejustify\u003eTerra est actionnaire à 25 % dans Sucrivore.u003c/pu003eu003cp class=rtejustify\u003eEn 2011, la contribution des opérations sucrières ivoiriennes de Terra a été de Rs 120 millions, que ce soit en profits ou en honoraires de gestion. Sucrivoire a réalisé une coupe record en 2011- 2012 avec une production de 93 000 tonnes de sucre. Le pays se stabilisant politiquement et la machine économique redémarrant, les prix de vente du sucre ont été intéressants pour Sucrivoire. Qui plus est, la fraude à l’importation est aujourd’hui mieux contrôlée. Conséquemment, 2012 devrait aussi être une bonne année pour Sucrivoire.u003c/pu003e
Terra : l’épopée ivoirienne
