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Beachcomber place 200 jeunes déscolarisés dans ses hôtels

u003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003eUn nouvel espoir d’avoir un travail décent s’offre à 200 jeunes. Ils ont été recrutés par la Fondation Espoir Développement (FED) – fondation sociale du groupe Beachcomber – pour le Projet Employabilité Jeunes (PEJ) pour 2012-13. Ce programme vise à donner à des jeunes déscolarisés de 16 à 22 ans les compétences sociales nécessaires pour une vie personnelle et professionnelle épanouie. Le PEJ permet aux jeunes n’ayant pas atteint un haut niveau académique de se réinsérer durablement dans le monde du travail en leur permettant d’abord de reprendre confiance en eux-mêmes et d’acquérir les compétences sociales de base nécessaires à la vie en entreprise, puis de faire euxmêmes l’expérience du travail lors de stages en entreprise.u003c/pu003eu003cp class=rtejustify\u003eu003cspan style=color: rgb(255, 140, 0);\u003eu003cstrongu003eFormation technique pousséeu003c/strongu003eu003c/spanu003eu003c/pu003eu003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003eLes entreprises emploient souvent les jeunes les plus performants pendant leur stage ou leur proposent une formation technique plus poussée dans le cadre d’un contrat d’apprentissage.u003c/pu003eu003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003e«u003cemu003e Pour les entreprises qui ont du mal à recruter des jeunes, le PEJ est un moyen d’élargir leur vivier d’employés potentiels en donnant à des jeunes dont ils auraient à peine considéré la candidature à cause de leur faible niveau académique, l’attitude requise pour réussir dans le monde du travail. Le PEJ est aussi un moyen pour l’entreprise de tisser des liens avec ses employés qui peuvent faire connaître le projet autour d’eux ou recommander des jeunes en difficulté de leur entourage, aussi bien qu’avec les quartiers ou villages en difficulté voisinant avec l’entreprise, car les bénéficiaires du PEJ en sont souvent originaires u003c/emu003e», explique Eric Bell, directeur de la FED.u003c/pu003eu003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003eCe programme d’un an combine cours sur le développement personnel un jour par semaine pour que les jeunes reprennent confiance en eux-mêmes, et stages en entreprise, notamment dans les hôtels Beachcomber. Le PEJ vise des jeunes n’ayant pas complété leur scolarité. Ces jeunes viennent pour leur grande majorité de groupes sociaux vulnérables ou de quartiers en difficulté.u003c/pu003eu003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003e« u003cemu003eLes régions ciblées par la Fondation Espoir et Développement (FED) sont le Nord, Port-Louis, les Plaines-Wilhems, le Sud-Est et le Sud-Ouest. La Fondation Espoir et Développement étant la fondation sociale du groupe Beachcomber, elle peut plus facilement offrir des stages dans les hôtels Beachcomber. La FED travaille aussi avec d’autres entreprises qui veulent mettre en oeuvre le PEJ et prendre des jeunes en stageu003c/emu003e », indique Eric Bell.u003c/pu003eu003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003eIl faut savoir que le PEJ ne vise pas à donner aux jeunes uniquement une formation technique hôtelière, mais leur inculque surtout l’attitude à faire preuve pour n’importe quel emploi : la ponctualité, le sérieux et le sens de la courtoisie envers collègues et clients.u003c/pu003eu003cdiv class=rtejustify style=background-color: rgb(238, 238, 238); border: 1px solid grey; padding: 10px; margin-top: 20px; margin-bottom: 20px; text-align: justify;\u003eu003cstrongu003eRs 30 000 investies par jeuneu003c/strongu003eu003cbru003eu003cbru003eu003cimg alt=\ class=imgFloatRight src=/sites/www.businessmag.mu/files/uploads/1041/1042/Untitled2.png style=width: 80px; height: 80px;\u003eLe Projet Employabilité Jeunes coûte Rs 30 000 par jeune par an, incluant la rémunération des formateurs, le transport des bénéficiaires et les primes versées aux stagiaires. Ce programme est financé par la Fondation Espoir Développement qui y a consacré Rs 20,7 millions de 2007 à 2010, essentiellement pour le transport et les primes des stagiaires. En 2010-2011, 200 jeunes ont intégré le PEJ et 132 l’ont complété ; 122 jeunes ont fait un stage en entreprise. 28 ont déjà été employés ou poursuivent une formation technique. De 2003 à 2011, 1 100 jeunes ont bénéficié du PEJ et 650 d’entre eux ont trouvé un emploi stable ou ont continué une formation technique financée par la FED ou dans le cadre de l’apprentissage.u003c/divu003e

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