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Des élèves du CPE encadrés par la BAI

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Des élèves du CPE encadrés par la BAI | business-magazine.mu

Investir dans l’éducation est une des priorités du groupe British American Investment. C’est ainsi qu’il est venu en aide à une trentaine d’enfants de l’école primaire R.C. Nuckchady - qui fait partie des établissements des zones d’éducation prioritaires (ZEP) - située à Trèfles, Rose Hill. La R.C. Nuckchady Government School fait face à un taux d’absentéisme élevé et à un faible pourcentage de réussite aux examens du CPE.

C’est pour remédier à ce problème que le groupe British American Investment y a assuré des cours supplémentaires pour les élèves qui éprouvaient des difficultés dans leurs études. Ceux-là ont ainsi pu prendre part aux examens du CPE, du 16 au 19 octobre.

« La Partners in Progress Foundation a assuré la présence d’un professeur qui travaillait spécialement avec une dizaine d’enfants en préparation des épreuves du CPE. Nous avons également fait don de fournitures scolaires à ces élèves. De plus, la fondation a offert un repas aux enfants pendant les quatre jours d’examens », fait ressortir Nina Gopaul, Assistant Vice-President du département Corporate Social Responsibility du groupe BAI.

Nicolas Ricard, AssistantVice- President du département marketing de la BAI avance, pour sa part, que « la PPF et la BAI soutiennent cette école depuis de nombreuses années. Nous souhaitons les encourager en apportant un soutien matériel et moral. Ils doivent se rappeler que le travail paie toujours et que l’essentiel est de donner le meilleur de soi-même ». Il faut savoir que le groupe British American Investment apporte un support académique et social à l’école depuis 2004. L’entreprise participe également à l’organisation de diverses activités extracurriculaires. Grace à ce partenariat continu, le taux de réussite de l’école aux examens du CPE s’est amélioré au fil des années, passant de 16 % en 2008 à 50 % en 2011.

KFC Ebène et ses employés « sourdoués »

Un fast food opéré par des sourds-muets. C’est le concept proposé par la succursale de KFC, sise à Ebène. Ce programme a été inspiré des enseignes indienne et malaisienne de KFC. « L’initiative a aussi nécessité un investissement en termes de temps et d’encadrement, ainsi que l’aménagement des infrastructures, avec le recours aux systèmes visuels », explique Didier L’Acariatre, Human Resource Manager de KFC. Il faut savoir que le personnel de KFC Ebène est composé, à 50 %, d’employés souffrant de surdité ou de déficiences auditives. Ceux-là, pour la plupart, ont déjà tenté, par le passé, de faire une entrée dans le monde du travail, mais sans grand succès. « Il est difficile de trouver du travail quand on est sourd-muet », affirme James Castel, employé à la branche d’Ebène.

Mais depuis février 2012, ils sont sept personnes malentendantes à avoir été embauchées par KFC. Ce qui a également permi à plusieurs responsables de recevoir une formation au langage des signes. Ce partenariat gagnant-gagnant devrait donner suite à l’ouverture d’une autre unité, employant essentiellement des sourds-muets, d’ici à 2015.
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