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British Computer Society : Partie prenante du développement des Tic à Maurice

u003cpu003eu003cstrongu003eDepuis 1989, la British Computer Society participe à la formation des jeunes professionnels mauriciens dans le domaine des Tic.u003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eFondée en 1957, la British Computer Society est, à lu0026rsquo;origine, un organisme professionnel britannique regroupant des experts dans le domaine des Tic. Elle se donne pour mission de valoriser les métiers liés à lu0026rsquo;informatique et de promouvoir lu0026rsquo;utilisation des nouvelles technologies. Les premiers membres croyaient fermement que lu0026rsquo;ordinateur contribuerait massivement au progrès économique.u003c/pu003eu003cpu003eÀ lu0026rsquo;époque, lu0026rsquo;informatique était perçue comme étant un domaine très technique. Le modèle de la British Computer Society était calqué sur celui de lu0026rsquo;Association of Chartered Certified Accountants (ACCA). À partir de 1969, la British Computer Society introduit les BCS Higher Education Qualifications dans le but de promouvoir la culture informatique et du0026rsquo;encourager les jeunes et professionnels à se lancer dans ce créneau.u003c/pu003eu003cpu003eEn 1989, lu0026rsquo;organisation décide du0026rsquo;internationaliser ses opérations. Elle se tournera alors vers du0026rsquo;anciens territoires du Commonwealth à la recherche du0026rsquo;un pays ayant du potentiel dans le développement des Tic. Après une visite de son Deputy Chief Executive Officer, Colin Thompson, à Maurice durant la même année, la British Computer Society ouvrira son premier centre de formation sur notre sol, afin de doter le pays du0026rsquo;une main-du0026rsquo;œuvre qualifiée. Au niveau de lu0026rsquo;organisation, on estimait alors que les conditions étaient réunies pour lu0026rsquo;éclosion du0026rsquo;une industrie des Tic à Maurice.u003c/pu003eu003cpu003eEn 2004, lu0026rsquo;organisation ouvre son bureau régional à Maurice. Cu0026rsquo;est Iqbal Boolaky qui occupera les fonctions de directeur régional de la branche mauricienne. Formé par la British Computer Society de 1989 à 1999, cet ancien enseignant des mathématiques a été reçuu0026nbsp;Certified Information Technology Professional (CITP) et Fellow de la British Computer Society.u003c/pu003eu003cpu003eu003cstrongu003e11 centres de formation accréditésu003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eÀ ce jour, 972 Mauriciens sont membres de la British Computer Society. Ils sont 11 à faire partie de lu0026rsquo;élite de cette institution qui compteu0026nbsp;85 000 membres à travers le monde. Ils sont devenus des Chartered Fellows, la plus haute distinction décernée par la British Computer Society. Au total, 11 centres de formation à travers lu0026rsquo;île sont accrédités pour offrir des cours de la British Computer Society, dont Datamatics Computer Centre, Active Learning Technology et Infonorth Training Centre.u003c/pu003eu003cpu003eCommentant la qualité de la formation dans le secteur des Tic à Maurice, Iqbal Boolaky fait ressortir que u0026laquo;u003cemu003eles études menées jusquu0026rsquo;ici par la British Computer Society ont révélé que le niveau de nombreux centres de formation est très bas. Nous voulons contribuer à rehausser le niveauu003c/emu003eu0026raquo;.u003c/pu003eu003cpu003eLu0026rsquo;organisme dispense des cours qui sont sanctionnés du0026rsquo;un Certificate, du0026rsquo;un Diploma et du0026rsquo;un Professional Diploma en technologie informatique. Parmi les apprenants, on compte de nombreux salariés qui suivent une formation auprès de la British Computer Society qui leur servira de levier dans leur parcours professionnel.u003c/pu003eu003cpu003eDepuis 2007, lu0026rsquo;organisme organise lu0026rsquo;IT personality of the year award. Ganesh Ramalingum et Sailesh Sewpaul figurent parmi ceux qui ont obtenu cette distinction.u003c/pu003eu003cpu003eValeur du jour, BCS Maurice coordonne les activités de la British Computer Society dans lu0026rsquo;océan Indien. Jusquu0026rsquo;ici, lu0026rsquo;organisation a prospecté les marchés seychellois et malgache sans succès. Concernant les Seychelles, lu0026rsquo;on a noté un manque du0026rsquo;intérêt pour les formations de la British Computer Society. Alors quu0026rsquo;à Madagascar, la principale barrière est la langue. Les centres de formation approchés ont demandé à ceu0026nbsp;que les cours soient dispensés en français.u003c/pu003eu003cpu003eSur le continent africain, ces dix dernières années, la British Computer Society a ouvert deux branches : lu0026rsquo;une au Ghana et lu0026rsquo;autre au Kenya. Ces deux pays sont appelés à devenir des références dans le domaine des Tic.u0026nbsp;u003c/pu003e

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