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SMAG : accompagner les agriculteurs avec la mécanique de pointe

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Laurent Montocchio (directeur)

SMAG a été créée en 1993 et depuis lors, elle a été profondément impliquée dans le processus de mécanisation de la récolte de la canne à sucre à Maurice. Parallèlement à l’évolution du secteur agricole et de la canne, SMAG a diversifié ses offres à travers des partenariats. Par exemple, la compagnie devient, en 2009, le concessionnaire de John Deere. Laurent Montocchio, directeur de SMAG, estime que cette année a été un tournant pour sa compagnie. «Nos possibilités d’implication ont augmenté et nous étions mieux armés pour apporter des solutions à la mécanisation pendant le cycle de culture de la canne à sucre», explique-t-il.

Au fil des années, la compagnie s’est également attaché les services de nombreuses autres marques, à l’instar de Caffini en termes de pulvérisateur ; IMAC et Monosem qui sont des machines de semis et de récolte ; Alko ou Solo qui répondent davantage aux besoins des petits planteurs ; ou encore Massano, Fieldking et Scanstone pour la préparation des sols raffinés et des machines de débourrage. «Notre objectif est d’offrir des solutions aux défis que peuvent rencontrer les producteurs mauriciens», poursuit le directeur.

De ce fait, tout naturellement, SMAG a compris les besoins en termes de matériaux pour l’agriculture raisonnée. Dans cette optique, Laurent Montocchio dit accompagner les opérateurs du secteur tout au long du processus de plantation. «Nous accompagnons l’agriculteur de la préparation du champ jusqu’à la récolte au niveau mécanique afin d’encourager toute personne possédant de la terre à s’y mettre ou s’y remettre et produire pour la population locale», soulignet-il. Avant d’ajouter que l’autre objectif de SMAG est d’encourager les jeunes à se diriger vers le secteur agricole. Afin d’atteindre cet objectif, il souhaite démontrer que les systèmes mécaniques sont dorénavant à la pointe de la technologie. «Cette part de ludique couplée à l’innovation peut redorer le blason du secteur», conclut-il.

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