Business Magazine

Tic-BPO : l’État joue son va-tout sur la formation

u003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003eLe développement à venir du secteur des technologies de l’information et de la communication (Tic) passera par notre capacité à nous doter d’un bassin de professionnels dûment formés.u003c/pu003eu003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003eAu niveau du ministère des Tic, on est pleinement conscient de l’enjeu. Tassarajen Pillay-Chedumbrum a, en début de semaine, défini ses priorités. « u003cemu003eSi on veut que les Tic deviennent le pivot de notre économie, il nous faut établir des structures u003c/emu003e», argue-t-il. Pour cela, il faut agir sur deux fronts : accueillir plus d’entreprises et augmenter le bassin de l’emploi. Avec une main-d’oeuvre plus efficiente, les entreprises seront en mesure de faire baisser leur coût d’opération.u003c/pu003eu003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003eDans cette optique, l’ICT Academy ouvrira ses portes en septembre 2013. Cette école de formation sera située au coeur de la technopole d’Ebène. Reste au ministère des Tic à trouver le local approprié.u003c/pu003eu003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003eAutre solution pour pallier le problème de manque de maind’oeuvre qualifiée dans les Tic- BPO : la mise en place d’un ICT Skill Development Programme. « u003cemu003eL’ICT Skill Development Programme vient broder le projet de l’ICT Academy. Ce programme a été approuvé le vendredi 27 juillet au Conseil des ministres u003c/emu003e», révèle le ministre.u003c/pu003eu003cp class=rtejustify\u003eu003cimg alt=\ class=imgFloatLeft src=/sites/www.businessmag.mu/files/uploads/1041/1041-51b.jpg style=width: 200px; height: 160px;\u003eu003c/pu003eu003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003ePour donner corps à ce programme, le gouvernement y injecte Rs 50 millions, somme qui sera revue lors de la prochaine année financière, soit l’année prochaine.u003c/pu003eu003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003eSi autrefois, les étudiants étaient nombreux à poursuivre leurs études à l’étranger, aujourd’hui, ils préfèrent rester à Maurice, souligne Tassarajen Pillay- Chedumbrum. Or, estime-t-il, «u003cemu003e il est du devoir du gouvernement de pourvoir suffisamment d’espaces et un climat propice pour offrir du travail à ces jeunes.u003c/emu003e »u003c/pu003eu003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003eL’ICT Skill Development Programme est une initiative conjointe du gouvernement et du secteur privé. Au niveau de l’instruction, le gouvernement contribue 60 % et le secteur privé, 40 %. De même, les entreprises qui disposent déjà de leurs centres de formation apporteront leur concours à u003cemu003el’ICTu003c/emu003e u003cemu003eSkill Development Programme. u003c/emu003eu003c/pu003eu003cp class=rtejustify style=text-align: justify;\u003eCe programme s’adresse d’abord aux détenteurs du u003cemu003eSchool Certificateu003c/emu003e, d’un u003cemu003eHigher School Certificateu003c/emu003e ou d’uwn diplôme universitaire. Pendant deux mois, ils bénéficieront d’une allocation de Rs 6 000, attribuée à 50 % par l’État et à 50 % par le secteur privé. Raj Makoond, directeur du Joint Economic Council, assumera les fonctions de co-président de u003cemu003el’ICT Skill Development Programme.u003c/emu003eu003c/pu003eu003cdiv class=rtejustify style=background-color: rgb(238, 238, 238); border: 1px solid grey; padding: 10px; margin-top: 20px; margin-bottom: 20px; text-align: justify;\u003eu003cstrongu003eFormer 14 000 étudiants jusqu’en 2014u003c/strongu003eu003cbru003eu003cbru003eL’industrie des Tic devra recruter au minimum 60 % de ceux inscrits à u003cemu003el’ICT Skill Development Programmeu003c/emu003e sur un contrat d’un an. Quant au second plan, il concerne les universitaires qui bénéficieront d’un Job Placement au sein de cette industrie pendant trois mois et d’une allocation de Rs 12 000.u003cbru003eu003cbru003e« u003cemu003eS’ils veulent évoluer dans le domaine des Tic, ils signeront un contrat avec le gouvernement qui financera leurs coursu003c/emu003e», précise Tassarajen Pillay- Chedumbrum. À travers u003cemu003el’ICT Skill Development Programmeu003c/emu003e, 14 000 personnes seront formées et d’ici à 2014, 29 000 autres rejoindront le secteur des Tic.u003c/divu003e

Exit mobile version