u003cpu003eLe rapport de la Banque mondiale mentionne une maîtrise de lu0026rsquo;inflation, autour des 2 % en glissement annuel. Mais la période des pluies qui débute est souvent propice à la hausse généralisée des prix des denrées alimentaires de base, notamment le riz. Lu0026rsquo;annonce faite par le ministre de lu0026rsquo;Agriculture et du développement rural, Roland Ravatomanga, du0026rsquo;une augmentation du rendement de la riziculture locale ne suffit pas à calmer la valse des étiquettes sur les étals des épiceries. Le kilo passe de 1 400 à 1 500 ariary avec des majorations graduelles presque tous les jours jusquu0026rsquo;à la fin de lu0026rsquo;annéeet les trois premiers mois du Nouvel an.u003c/pu003eu003cpu003eÀ lu0026rsquo;origine de ces frémissements, selon la Banque mondiale, la dépréciation de lu0026rsquo;ordre de 11 % de lu0026rsquo;ariary face au dollar depuis lu0026rsquo;installation du nouveau régime. Le retour à la vérité des prix du carburant, exit la subvention qui nu0026rsquo;arien apporté de positif, sinon retarder lu0026rsquo;échéance du0026rsquo;une flambée des prix généralisée, va certainement déclencher une spirale inquiétante de la hausse des prix ; pour les foyers à faibles revenus, su0026rsquo;entend.u003c/pu003e
Madagascar: la dépréciation de l’ariary entraîne une spirale inflationniste
