u003cpu003eEncourager les agriculteurs à su0026rsquo;engager dans lu0026rsquo;apiculture. Cu0026rsquo;est lu0026rsquo;objectif du projet Alternative livelihoods for food and income security, piloté par lu0026rsquo;International Centre of Insect Physiology and Ecology. Selon le coordinateur du projet, George Bibi, cette initiative vise à améliorer le rendement de la production apicole. La production de miel pourrait devenir une source secondaire de revenus.u003c/pu003eu003cpu003eCe projet est également mené à Maurice, Madagascar et aux Comores, ainsi que sur lu0026rsquo;île de Zanzibar, en Tanzanie. Il devrait contribuer à améliorer la sécurité alimentaire tout en sécurisant les revenus des petits exploitants agricoles. Les produits dérivés collectés pendant la production de miel contribueront également aux revenus des apiculteurs. La cire recueillie peut être utilisée pour fabriquer des bougies et les cadres de ruche. Lu0026rsquo;année dernière, 40 apiculteurs et agriculteurs seychellois ont participé à une formation de cinq jours. Ils ont récemment reçu de nouvelles ruches. Ces efforts sont menés dans le but de relancer lu0026rsquo;apiculture sur lu0026rsquo;archipel.u003c/pu003eu003cpu003eLes Seychelles ne sont pas le seul pays à enregistrer une baisse au niveau des activités apicoles. Selon un article publié dans The Guardian, un organisme des Nations unies sur la diversité biologique a déclaré que u0026laquo;u003cemu003eles populations du0026rsquo;abeilles, de papillons et du0026rsquo;autres espèces importantes pour la pollinisation agricole sont en déclin, ce qui présente des risques potentiels pour les principales cultures mondialesu003c/emu003e.u0026raquo;u0026nbsp;u003c/pu003e
Seychelles : améliorer le rendement de la production apicole
