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Dr Devarajen Carpanen: Une détermination à toute épreuve

u003cpu003eu003cstrongu003eAprès avoir fait ses premières armes en Afrique du Sud et en Chine, le médecin est aujourdu0026rsquo;hui lu0026rsquo;un des meilleurs éléments du Centre de chirurgie esthétique de lu0026rsquo;océan Indien. Il pratique la chirurgie reconstructrice à la clinique Apollo Bramwell.u003c/strongu003eu003c/pu003eu003cpu003eLa chirurgie ou rien. Telle pourrait être la devise du Dr Devarajen Carpanen, tant il est passionné par la branche de la médecine dans laquelle il su0026rsquo;est spécialisé : la chirurgie plastique. Un brin discret, lu0026rsquo;homme nu0026rsquo;aime pas se mettre en avant, préférant parler de lu0026rsquo;équipe au sein de laquelle il travaille, au Centre de chirurgie esthétique de lu0026rsquo;océan Indien. Cu0026rsquo;est justement là où ce globe-trotter a choisi de poser ses valises il y a trois ans. Bien lui en a pris puisquu0026rsquo;il y a rapidement gravi les échelons pour devenir, au dire du fondateur du centre, Gérard Guidi, u0026laquo; u003cemu003elu0026rsquo;un des chirurgiens les plus doués de sa générationu003c/emu003e u0026raquo;.u003c/pu003eu003cpu003eAvant du0026rsquo;en arriver là, Devarajen Carpanen a fait preuve de persévérance et du0026rsquo;abnégation afin de réaliser son rêve. Déterminé à embrasser la car-rière à laquelle il se prédestine, après avoir fréquenté le Collège Royal de Port-Louis, le jeune homme su0026rsquo;envole pour la France en vue du0026rsquo;y étudier la médecine. Là-bas, il se rend compte que la compétition, dans la filière quu0026rsquo;il a choisie, est féroce. u0026laquo; u003cemu003eLes places sont très limitées et pour en décrocher une, il faut passer des concours. Ce qui nu0026rsquo;est pas toujours facile lorsquu0026rsquo;on sait quu0026rsquo;il nu0026rsquo;y a que 250 places pour 1 300 postulantsu003c/emu003e u0026raquo;, explique-t-il. Cependant, alors que beaucoup se laissent décourager par la difficulté de lu0026rsquo;épreuve, Devarajen Carpanen choisit, lui, de mettre le cap sur lu0026rsquo;Ukraine où il obtiendra, six ans plus tard, un doctorat en médecine. u0026laquo; u003cemu003eQuand on désire quelque chose, il faut tout faire pour lu0026rsquo;obtenir. Étudier en Ukraine a été pour moi une expérience incroyableu003c/emu003e u0026raquo;, confie-t-il. Durant ses années du0026rsquo;études, il se rendra également en Afrique du Sud, plus précisément à Cape Town, pour y suivre une formation en chirurgie. Son doctorat en poche, le jeune homme revient faire son internat à Maurice en 2006. Celui-ci durera un an…u003c/pu003eu003cpu003eu003cemu003eu003cstrongu003eLire davantage dans Business Magazineu003c/strongu003eu003c/emu003eu003c/pu003e

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