Rs 46 milliards
C’est le montant en devises étrangères vendu par la Banque centrale aux banques, aux FX dealers et à la State Trading Corporation depuis le début de l’année.
FRANCK LACORRE (Conseil en gestion de patrimoine à Hermès Patrimoine) – À l’encre de sa plume
August 25, 2020
Habitué à jauger les bilans fiscaux et patrimoniaux de ses clients, Franck Lacorre s’est lancé dans l’écriture de son premier roman, Côté cour, côté jardin, il y a deux ans. Une tâche qui s’est révélée ...
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Wakashio : La possibilité d’un deuxième oil spill
August 17, 2020
Selon Eco-Sud, à ce jour, le MV Wakashio est scindé en deux. Il resterait environ 30 mètres cubes de produits dans la partie de la poupe, c’est à dire l’arrière du bateau, dont une partie ...
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Échouement du MV Wakashio : 3 184 tonnes d’huile lourde pompées des cales ; il ne reste qu’à extraire 166 tonnes dans d’autres parties du navire
August 12, 2020
Ouf de soulagement ! Tout le fioul dans les cales du MV Wakashio a été pompé. Face à la presse ce mercredi après-midi, le Premier ministre, Pravind Jugnauth, a indiqué que 3 184 tonnes métriques ...
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Indicateurs économiques
| Achat à l'unité | Vente à l'unité | |
|---|---|---|
| CNY | Rs 5,97 | Rs 6,17 |
| EUR | Rs 46,99 | Rs 48,34 |
| INR | Rs 0,52 | Rs 0,54 |
| ZAR | Rs 2,46 | Rs 2,58 |
| GBP | Rs 52,35 | Rs 53,81 |
| USD | Rs 38,80 | Rs 39,70 |
VERBATIM SECTION
VERBATIM
INDICATEUR ECONOMIQUE SECTION
Le prix du pétrole estimé à 74 dollars le baril en 2022
Selon les prévisions, les prix du pétrole devraient s’établir en moyenne à 74 dollars le baril en 2022, contre 70 dollars le baril en 2021, avant de retomber à 65 dollars le baril en 2023. La demande de pétrole devrait poursuivre son redressement et atteindre son niveau pré-pandémique d’ici le second semestre de 2022. Le manque d’investissement dans la nouvelle production, notamment dans la production de schistes bitumineux aux États-Unis, constitue un risque à la hausse. Les investissements dans la nouvelle production de pétrole ont fortement chuté en 2020 et ont été plus lents à reprendre qu’après les précédents effondrements de prix. En outre, la substitution du pétrole brut au charbon et au gaz naturel dans la production de chauffage et d’électricité constitue un autre risque à la hausse. De nouvelles vagues de la Covid-19 restent un risque à la baisse pour la demande de pétrole.
EDITO SECTION
Édito
