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Caudan Waterfront: Décorations différentes chaque semaine

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Caudan Waterfront

Près de 20 ans après son ouverture, le Caudan Waterfront attire toujours autant les Mauriciens. La promenade sur le front de mer, un service de sécurité qui fonctionne en permanence, des restaurants ouverts jusqu’à fort tard qui permettent aux gens de consommer paisiblement à côté du grouillant Port-Louis des affaires et une multitude de magasins en tous genres ouverts à toutes les bourses sont parmi ses principales forces. Malgré l’arrivée de compétiteurs d’envergure comme Grand Baie La Croisette et Bagatelle Mall, le Caudan Waterfront est toujours aussi fréquenté qu’auparavant.

Le Caudan, ce sont d’abord les 2 000 personnes qui travaillent dans ses magasins et restaurants mais aussi dans ses bureaux situés au deuxième étage des bâtiments Barkly Wharf et Dias Pier. Mais c’est aussi cette ouverture quotidienne aux citadins de la capitale ainsi qu’à tous ceux qui s’y affairent.

Mais le Caudan Waterfront ne se limite pas à cette population. Régulièrement, selon son Events Manager, Olivier Langevin, des artistes y font des mini-concerts et autres représentations attirant les Mauriciens et divertissant les touristes. «Nous choisissons des thèmes différents tout le long de l’année et nous changeons le décor en fonction de ces thèmes. Ces spectacles sont très appréciés par les visiteurs qui viennent de toute l’île et du monde entier et ça peut se voir sur les réseaux sociaux quand ces derniers prennent des photos qu’ils partagent sur le net», souligne-t-il.

Dans le cadre des fêtes de fin d’année, le Caudan Waterfront organise une série d’évènements qui ont commencé le mois dernier. Les décorations sont différentes avec pour chaque semaine un thème différent. Le Late Night Shopping a commencé lundi et s’échelonnera jusqu’au samedi 31 décembre, avec tous les magasins ouverts jusqu’à 22 heures. «Il y a aussi des animations pour les enfants en soirée, ainsi que des happy hours dans les restaurants. Nous faisons suffisamment pour ne pas craindre la compétition», avoue Olivier Langevin.