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Great Place to Work: moins de dix entreprises éligibles au palmarès 2017

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Great Place to Work: moins de dix entreprises éligibles au palmarès 2017 | business-magazine.mu

Great Partner de l’institut Great Place to Work (GPTW) pour la région océan Indien, Pierre fournier se dit «quelque peu déçu». Il annonce, en effet, l’éligibilité de moins de dix entreprises de l’île au palmarès 2017 de GPTW Maurice. Celui-ci, ajoute-t-il, sera rendu public le 16 novembre, après que plusieurs dates ont été annoncées précédemment.

Admettant qu’il s’attendait à une meilleure situation au sein des compagnies mauriciennes en termes de «qualité de vie au travail» et de «climat social», Pierre Fournier explique que GPTW place la barre très haut en matière de culture managériale et de gestion de ressources humaines, d’où le faible taux d’éligibilité au premier palmarès de l’île. Selon le Great Partner océan Indien de l’institut, pas plus de cinq ou six entreprises y figureront.

Pierre Fournier n’en demeure pas moins confiant que ce nombre est appelé à doubler l’an prochain. Une estimation issue des rencontres qu’il a eues jusqu’ici avec les managers et directeurs des ressources humaines du pays. Ceux-ci, précise le consultant, se sont montrés «enthousiastes, formidables, courageux», même s’ils sont conscients des améliorations à apporter dans leur entreprise. Certains de ces interlocuteurs seront d’ailleurs invités à intervenir à l’occasion de la présentation-conférence du palmarès, en novembre prochain, car, pense Pierre Fournier, ils peuvent inspirer d’autres entreprises du pays par leur démarche d’optimisation de la qualité de vie et du climat social au travail.

Pour rappel, GPTW, cabinet international d’étude, de conseil et de formation pour un environnement où il fait bon travailler sonde plusieurs millions de salariés dans une cinquantaine de pays au moyen d’un questionnaire anonyme. Par les réponses apportées sur l’atmosphère au travail, le traitement accordé aux employés ou encore l’entraide entre ceux-ci, une évaluation est ensuite faite. «Il est devenu évident que l’on quitte de plus en plus une entreprise pour des raisons autres que financières. Notre mission est de créer une société meilleure en aidant les entreprises à développer des environnements de travail améliorés», commente Pierre Fournier qui ne doute pas de l’impact de la vie en entreprise sur la sphère privée.