Devenir entrepreneur : un défi de taille
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La région regorge de jeunes talents qui, bien souvent, hésitent à franchir le pas et à se lancer dans les affaires. Tantôt c’est la peur de l’échec qui empêche l’éclosion des projets, tantôt c’est l’accès aux leviers de financement qui fait défaut. Si Maurice et La Réunion disposent de structures adéquates pour faciliter la création d’entreprises, en revanche, Madagascar a encore du chemin à faire pour la facilitation des affaires.
La fibre entrepreneuriale est très forte à Maurice. Les gouvernements qui se sont succédé ont fait la promotion de l’entrepreneuriat en adoptant des mesures incitatives et en créant des programmes d’appui pour que les jeunes puissent créer leur entreprise. Tandis que La Réunion dispose de structures bien rodées, que ce soit pour accompagner les porteurs de projet ou encore pour débloquer les financements en faveur des TPE (très petites entreprises) et PME (petites et moyennes entreprises).
Par contre, Madagascar est à la traîne en matière de facilitation des affaires. Si les opportunités sont réelles pour les porteurs de projet, n’empêche, les autorités doivent au préalable créer un climat propice à l’éclosion du business.
C’est ce qui fait, ce mercredi, la une de Business Magazine, une édition océan Indien consacrée à la région.
Indicateurs économiques
| Achat à l'unité | Vente à l'unité | |
|---|---|---|
| CNY | Rs 5,97 | Rs 6,17 |
| EUR | Rs 46,99 | Rs 48,34 |
| INR | Rs 0,52 | Rs 0,54 |
| ZAR | Rs 2,46 | Rs 2,58 |
| GBP | Rs 52,35 | Rs 53,81 |
| USD | Rs 38,80 | Rs 39,70 |
VERBATIM SECTION
VERBATIM
$ 750 millions
C’est la somme que rapporterait l’économie bleue à Maurice en prenant en considération l’exportation et la réexportation des produits marins (fruits de mer, produits minéraux, énergies marines…)
INDICATEUR ECONOMIQUE SECTION
L’inflation globale pour 2021 estimée à 3,8 %
Selon la Banque de Maurice, l’inflation reste contenue, cela malgré la récente augmentation des prix administrés tels que ceux des boissons alcoolisées, de la cigarette et des produits pétroliers domestiques. L’inflation globale s’est établie à 3,2 % en septembre 2021. L’inflation dans le pays est alimentée par des chocs d’offres transitoires, en particulier la hausse du coût du fret et des prix des matières premières. Au niveau mondial, l’inflation reste élevée, mais devrait s’atténuer dans la plupart des pays en 2022. Bien que la dynamique des prix reste incertaine dans le monde entier, ces influences liées à l’offre devraient s’estomper en 2022. En l’absence de nouveaux chocs extérieurs, la Banque centrale prévoit une inflation globale d’environ 3,8 % pour 2021.
EDITO SECTION
Édito
