BANK ONE : Des solutions de roulement et de moratoire dans le contexte économique sensible actuel

BANK ONE est la filiale bancaire du groupe Ciel qui tombe sous son pôle Finance. Entreprise importante du conglomérat, 100 % de l’actionnariat appartient dorénavant à Ciel suivant le rachat de 24,9 % des parts d’Amethis Finance. Mais la performance financière de Bank One parle d’elle-même. Dans le dernier rapport financier de Ciel au 31 décembre 2022, l’on voit que la banque a augmenté son bénéfice et a également amélioré les revenus du cluster Finance de Ciel. En effet, pour les six premiers mois de l’année financière, soit de juillet à décembre 2022, Ciel Finance a enregistré des revenus de Rs 2,5 milliards. La contribution de Bank One a permis de doper les résultats financiers du groupe avec des bénéfices qui ont atteint Rs 168 millions pour la même période.

Mais comment la compagnie a-t-elle contribué à cette performance ? Premièrement, c’est à travers la diversification des solutions proposées. En effet, Bank One offre une panoplie de services dont certains spécifiques aux entreprises. Fareed Soobadar revient d’ailleurs sur les accompagnements proposés par sa société. Le Head of Corporate Banking de Bank One cite en exemple les mesures instaurées dans le contexte des taux d’intérêt forts pour les entreprises locales. «Notre équipe est composée de gestionnaires expérimentés qui agissent en tant que conseillers financiers pour mieux accompagner nos clients et répondre à leurs besoins en leur proposant des produits qui répondent le mieux aux exigences de leurs activités. L’on y retrouve notamment des facilités à court terme telles que des fonds de roulement ou du financement commercial sur mesure pour faciliter leur trésorerie», indique-t-il. Mais il insiste qu’il convient de préciser que pendant la pandémie, Bank One a aussi soutenu ses clients en termes de moratoires pour leur permettre de poursuivre leurs activités. «Nous avons mis en place un cadre de restructuration permanent pour accompagner les entreprises qui sont confrontées à des difficultés de financement en raison de la pandémie et, plus récemment, de la forte hausse des taux d’intérêt», conclut-il.