Type to search

Entreprendre Innovation

Kleek.mu: des achats simples comme un clic

Share
Kleek.mu: des achats simples comme un clic | business-magazine.mu

Au bout d’une année d’opération, la filiale du groupe Harel Mallac a su se frayer un chemin parmi les autres sites de vente en ligne mauriciens. Ses atouts: qualité et professionnalisme.

Kleek.mu, toute jeune filiale du groupe Harel Mallac, évolue dans le domaine de la vente en ligne depuis une année environ. Cette pratique fait de plus en plus d’adeptes à Maurice car elle présente divers atouts dont celui de ne pas avoir à se déplacer pour faire ses achats.

Harel Mallac, compagnie fondée en 1830, offre à travers Kleek.mu une autre dimension à sa présence sur le créneau des technologies de l’information et de la communication (Tic)/Business Process Outsourcing (BPO). À la tête de l’entreprise, Ludovic Bourgeois et Deborah Affoque, Project and Administrative Coordinators, entourés d’une équipe de développeurs, entre autres. Avec pour devise l’adage « Time is money », ils mettent en œuvre tous les moyens dictés par les lois du marché afin que Kleek.mu soit une référence en tant que vitrine virtuelle. Pour ce faire, ils misent principalement sur la rapidité, la transparence et la qualité.

Natacha Ramsamy, Sales and Marketing Manager de Kleek.mu, insiste par ailleurssur le fait que les produits disponibles via leur site sont à 
« des prix compétitifs » et offrent à la clientèle un vaste choix. Pour les amateurs de gadgets technologiques, par exemple, téléphones portables, tablettes tactiles, appareils photo numériques et autres accessoires pour PC sont ainsi accessibles. Les internautes trouveront également sur Kleek.mu des livres et même des appareils électroménagers. Un avantage indéniable du site, explique Deborah Affoque, est que les Mauriciens qui ont des parents à l’étranger notamment peuvent se faire livrer un article choisi par euxsur Kleek.mu. « La commande est passéedans un autre pays et nous nous chargeons de la livraison ici », indique-t-elle...

À lire la suite dans l'édition papier de Business Magazine

Tags:

You Might also Like