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Royal Park : les premiers coups de pioche donnés en avril

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Royal Park : les premiers coups de pioche donnés en avril | business-magazine.mu

Le projet Royal Park sortira de terre dans les semaines à venir. Au total, la construction de 74 villas est prévue cette année.

La construction du projet résidentiel Royal Park à Balaclava démarre cette année avec l’enclenchement de la deuxième phase. La première étape consistait en la commercialisation des terrains.

La construction des 30 appartements Mascarene débutera en avril, alors que celle des 25 townhouses Sandpiper et des 19 villas Savanah est programmée pour le mois de juin.

Sydney Bathfield, président du conseil d’administration de Royal Park, se dit satisfait du succès de l’étape de commercialisation. À ce jour, plus de 50 % de résidences du Royal Park ont déjà été vendues essentiellement à des clients Européens, Sud-Africains et Mauriciens.

Concernant la construction du club house, qui a démarré en novembre dernier, elle devrait cette s’achever dans le courant de l’année. «Le club house deviendra le centre des opérations du Royal Park. Une réception, ainsi qu’une conciergerie seront en charge de répondre aux demandes des résidents qu’il s’agisse de la gestion locative ou d’organisation de sorties, d’événements, de garde d’enfants ou d’autres services. Royal Park, de par son ampleur et la qualité de son offre, est un des projets phares de l’immobilier à Maurice», indique Artur Simes, Sales Manager.

Outre le club house, le développement d’un parc paysager de 22 arpents, le Sunset Beach à Balaclava, et le centre d’activités Banyan Village font aussi partie intégrante du projet Royal Park, dont la livraison sera complétée d’ici à cinq ans.

Un développement en plusieurs étapes

Quoique reconnaissant que le secteur de l’immobilier connaît un ralentissement, Sydney Bathfield indique qu’un projet d’une telle envergure nécessite de concevoir un développement par phase étalé sur un certain nombre d’années. Dans la phase de conception de Royal Park, l’aménagement du parc, qui est au cœur de ce projet, et les infrastructures étaient prioritaires. Cela a pris 24 mois en sus du temps nécessaire pour les démarches administratives. Dans le même temps, tous les terrains prévus pour des investisseurs mauriciens ont été commercialisés.

«Le succès commercial nous permet de démarrer les premières constructions. Les autres phases du projet seront enclenchées au fur et à mesure. Un développement d’une telle envergure demande au promoteur d’ajuster l’offre à la demande pour être toujours au plus près des clients. La notion du temps ne peut pas être un obstacle s’il s’agit de perfectionner la proposition dans son ensemble», fait ressortir Artur Simes.

Ce projet se veut aussi novateur. Une relation de proximité est établie avec les habitants des villages qui bénéficient en termes de perspectives d’emplois et de formation, notamment.

Le promoteur souhaite parrainer des jeunes apprentis artisans dans leurs métiers (menuisiers, électriciens et autres), leur assurer une formation et, par la suite, un emploi ou encore collaborer avec les producteurs agricoles pour développer des produits bio qui seraient vendus aux résidents de Royal Park. Un projet de collaboration sera bientôt présenté, afin d’intégrer les villageois dans le développement de Royal Park.

À terme, Royal Park représente $300 millions en termes d’investissements directs étrangers (IDE) et une contribution annuelle de Rs 2 milliards sous forme d’impôts.