Le déclin de l’intérêt des investisseurs étrangers se traduit également sur le marché boursier, où un phénomène de désinvestissement se poursuit. En une année (mai 2015 à mai 2016), les étrangers ont liquidé un montant net de Rs 2,3 milliards sur la plate-forme boursière locale, avec des achats de titres totalisant Rs 5,2 milliards et des ventes s’élevant à Rs 7,5 milliards.
| Achat à l'unité | Vente à l'unité | |
|---|---|---|
| CNY | Rs 6,52 | Rs 6,84 |
| EUR | Rs 48,18 | Rs 49,61 |
| INR | Rs 0,56 | Rs 0,59 |
| ZAR | Rs 2,71 | Rs 2,88 |
| GBP | Rs 56,28 | Rs 57,95 |
| USD | Rs 42,30 | Rs 43,20 |
VERBATIM
Rs 46 milliards
C’est le montant en devises étrangères vendu par la Banque centrale aux banques, aux FX dealers et à la State Trading Corporation depuis le début de l’année.
Le prix du pétrole estimé à 74 dollars le baril en 2022
Selon les prévisions, les prix du pétrole devraient s’établir en moyenne à 74 dollars le baril en 2022, contre 70 dollars le baril en 2021, avant de retomber à 65 dollars le baril en 2023. La demande de pétrole devrait poursuivre son redressement et atteindre son niveau pré-pandémique d’ici le second semestre de 2022. Le manque d’investissement dans la nouvelle production, notamment dans la production de schistes bitumineux aux États-Unis, constitue un risque à la hausse. Les investissements dans la nouvelle production de pétrole ont fortement chuté en 2020 et ont été plus lents à reprendre qu’après les précédents effondrements de prix. En outre, la substitution du pétrole brut au charbon et au gaz naturel dans la production de chauffage et d’électricité constitue un autre risque à la hausse. De nouvelles vagues de la Covid-19 restent un risque à la baisse pour la demande de pétrole.
