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Professionnaliser l’usage des médecines douces

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Professionnaliser l’usage des médecines douces | business-magazine.mu

L’École Mauricienne du Bien-Être de Forest Side offre diverses formations en médecine complémentaire à l’intention des professionnels des secteurs médical, paramédical et hôtelier, entre autres.

L’École Mauricienne du Bien-Être (EMBE), à Forest-Side, se définit comme le «premier centre de formation professionnelle de médecines douces à l’île Maurice ». Accréditée par la Mauritius Qualifications Authority, elle est également affiliée à l’École Internationale de Santé Bien-Être dont le siège est à Toulouse. Quant à l’équipe pédagogique de l’EMBE, pluridisciplinaire, elle se compose de médecins généralistes et spécialistes en gériatrie ou en cardiologie, d’ergothérapeutes et de naturopathes, entre autres.

Les professionnels qui s’inscrivent auprès de l’EMBE pourront, à la suite des formations reçues, donner de la valeur ajoutée à un emploi dans le secteur de la santé et du bien-être ou mettre sur pied leur propre structure libérale. L’enseignement dispensé vient aussi compléter un bagage médical initial afin de permettre un meilleur accompagnement du patient et ainsi contribuer à son mieux-être.

Face à une demande qui va croissant, parallèlement à l’évolution du mode de vie, la professionnalisation du secteur de la santé et du bien-être s’impose non seulement dans le domaine médical mais aussi dans celui de l’hôtellerie, en vue de projeter une image positive de l’île. « Tout thérapeute, quelle que soit sa spécialité, a le devoir d’être formé en physiologie et anatomie du corps et en physiopathologie », fait remarquer à ce propos la directrice de l’établissement, Ariane Tursan d’Espaignet. Celle-ci a décidé de fonder l’EMBE après une carrière de 20 ans dans le secteur du tourisme et munie d’une solide connaissance des soins dispensés dans les spas. Elle est alors convaincue qu’il y a un manque de formation continue et de qualité auquel l’école pourrait remédier, en vue d’améliorer les prestations existantes. « L’on doit tenir compte des médecines complémentaires. Elles viennent contribuer de façon holistique à l’amélioration de la santé des malades. Elles sont déjà utilisées en tant que soins de support à la médecine conventionnelle et le seront davantage à l’avenir, au chevet d’une population mondiale vieillissante », poursuit la directrice...

La suite dans l'édition papier de Business Magazine

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