Résoudre le problème de main-d’œuvre par la formation
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C’est par la formation qu’on pourra résoudre le problème de main-d’œuvre qualifiée dans le domaine de la construction. C’est dans cette optique que le Human Research Development Council (HRDC) et la Building and Civil Engineering Contractors Association (Baceca) se penchent sur l’élaboration d’un programme de formation pour les professionnels ou aspirants professionnels de l’industrie du bâtiment. Une initiative qui fait suite à une étude réalisée par le HRDC en 2011 sur la pénurie de main-d’œuvre et l’inadéquation entre les compétences et les besoins de l’industrie en matière de ressources humaines.
En 2010, le secteur employait 54 000 personnes. D’ici à 2015, il comptera entre 1 200 et 5 000 de bras supplémentaires. Au sein de l’industrie, les emplois sont répartis en trois grandes catégories : les ouvriers spécialisés (76 %), les ouvriers (15 %) et le staff professionnel (9 %).
Ces métiers convoités
Nombre d’opérateurs ont choisi l’option de se tourner vers la main-d’œuvre étrangère. À juillet 2011, 6 150 Work Permits ont ainsi été alloués à 6 150 travailleurs étrangers.
Les métiers pour lesquels il y a une plus forte demande sont les suivants : maçon, charpentier, chef de chantier, plombier, Barbender, chef d’équipe, grutier, électricien, poseur de carreaux céramiques et aide-maçon.
Les opérateurs disent éprouver des difficultés à recruter du personnel ayant les qualifications suivantes : Diploma in Land Surveying, Diploma in Design Draft, Diploma in Mechanical and Electrical Engineering, NTC / Diploma in Air Condition Repair and Maintenance, Degree in Electrical Engineering, Degree in Civil Engineering, MSc in Mechanical Engineering, Autocad/Architect, Masters in Civil Engineering.
De même, il est difficile de recruter des ouvriers qualifiés pour les métiers suivants : poseur de carreaux céramiques, maçon, charpentier, peintre, électricien, ébénistes et opérateurs d’équipements lourds et chef d’équipe.
Chez les professionnels, les recrutements ont été difficiles pour les postes suivants : métreur, ingénieur, gestionnaire intermédiaire et dessinateur.
La composition de l’emploi dans le secteur de la construction
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Indicateurs économiques
| Achat à l'unité | Vente à l'unité | |
|---|---|---|
| CNY | Rs 6,50 | Rs 6,83 |
| EUR | Rs 48,69 | Rs 50,11 |
| INR | Rs 0,56 | Rs 0,59 |
| ZAR | Rs 2,68 | Rs 2,85 |
| GBP | Rs 57,30 | Rs 58,99 |
| USD | Rs 42,20 | Rs 43,10 |
VERBATIM SECTION
VERBATIM
$ 750 millions
C’est la somme que rapporterait l’économie bleue à Maurice en prenant en considération l’exportation et la réexportation des produits marins (fruits de mer, produits minéraux, énergies marines…)
INDICATEUR ECONOMIQUE SECTION
L’inflation globale pour 2021 estimée à 3,8 %
Selon la Banque de Maurice, l’inflation reste contenue, cela malgré la récente augmentation des prix administrés tels que ceux des boissons alcoolisées, de la cigarette et des produits pétroliers domestiques. L’inflation globale s’est établie à 3,2 % en septembre 2021. L’inflation dans le pays est alimentée par des chocs d’offres transitoires, en particulier la hausse du coût du fret et des prix des matières premières. Au niveau mondial, l’inflation reste élevée, mais devrait s’atténuer dans la plupart des pays en 2022. Bien que la dynamique des prix reste incertaine dans le monde entier, ces influences liées à l’offre devraient s’estomper en 2022. En l’absence de nouveaux chocs extérieurs, la Banque centrale prévoit une inflation globale d’environ 3,8 % pour 2021.
EDITO SECTION
Édito
