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Compagnie d’exploitation agricole Ltée: cinquantenaire d’un fidèle partenaire de l’industrie sucrière

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Compagnie d’exploitation agricole Ltée: cinquantenaire d’un fidèle partenaire de l’industrie sucrière | business-magazine.mu

Il y a un demi-siècle, CEAL démarrait ses activités par la location de tracteurs. Depuis, en élargissant son champ d’activités, l’entreprise a su cheminer aux côtés d’un secteur clé de l’économie locale.

Il y a 50 ans, le 24 juin 1964, CEAL (Compagnie d’exploitation agricole Ltée) voyait le jour. Son objectif : répondre aux besoins de l’industrie sucrière en termes d’équipements lourds pour la récolte. « Ce cinquantenaire, nous allons le célébrer en accord avec notre image, en toute simplicité », fait ressortir Michel Rousset, Chairman de CEAL.

Au début, CEAL s’installe à Grande-Rivière-Nord-Ouest, avec pour unique activité la location de tracteurs. à partir de 1978, elle diversifie son offre en s’engageant dans le chargement de cannes et la coupe mécanique. Toutefois, elle suspend cette dernière activité en 1981, non sans des conséquences financières importantes.

Quelques années plus tard, en 1986-87, le reprise économique profite aussi à CEAL. « C’est à partir de là que la société a décidé de saisir les opportunités qui se présentaient », souligne Michel Rousset. Elle misera, une fois de plus, sur la diversification de ses activités. Une stratégie qui répond à différentes motivations, notamment celle d’assurer la croissance de CEAL tout en poursuivant leur politique d’accompagnement des clients. Il s’agissait aussi d’« apporter une stabilité financière à l’entreprise.»

En 1989, CEAL se relance dans la coupe mécanique et développe ses activités de « rock supply », d’épierrage et d’aménagement. Trois ans plus tard, elle crée SMAG pour la commercialisation des machines agricoles et en 1995, Air Agri, centrée sur l’épandage agricole. Et en 1999, une filiale de CEAL voit le jour à Madagascar.

Qu’est-ce qui explique la longévité de la compagnie. à cela, Michel Rousstey répond: « L’innovation continue, la réactivité et une équipe dédiée sont à la base de notre réussite... Sans l’homme, la machine n’est rien. Nous plaçons les ressources humaines au cœur de nos préoccupations. De la capacité de chacun à se sentir responsable de ses opérations dépend la performance de l’ensemble. » De ce fait, à CEAL, qui compte actuellement 175 employés, la responsabilisation, la formation et l’expérience demeurent les priorités.

Approche proactive

Riche de ses nombreuses années de collaboration avec le secteur sucrier, la société se différencie de ses concurrents par son savoir-faire dans ce domaine. « Nous avons été les premiers à nous engager, dans les années 80, dans la mécanisation de l’épierrage et de la récolte de la canne à sucre », souligne Michel Rousset à ce propos. Loin de se reposer sur ses acquis, CEAL a aussi su tirer profit d’un parc d’équipements en constante évolution. La compagnie dispose d’un nombre conséquent de machines et d’accessoires qui bénéficient d’un suivi technique rigoureux et auxquels elle consacre chaque année une importante part de son budget afin d’en assurer le renouvellement...

À lire la suite dans l'édition papier

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